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Dans les cartons des Dé-Managers : #45

Semaine espagnole, avec le FC Séville, Antoine Griezmann, mais aussi Diego Simeone. Ailleurs, Manuel Neuer est toujours aussi fou, son coéquipier et compatriote Thomas Müller a enfin son hommage Youtube, le président de la Roma est chaud, et la CAN a débuté.

Auteur : Les Dé-Managers le 20 Jan 2015

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Séville loin du bourbier

Christophe Kuchly – Qualifiés au prochain tour de coupe d’Europe, victorieux en toute sérénité ce week-end, ils continuent leur très belle saison et ont même leur destin en main: s’ils gagnent tous leurs matches de Liga, ils seront champions. Eux, ce ne sont pas les Madrilènes ou Barcelonais, mais bien les Sévillans, quatrièmes du championnat avec un match en retard, et qui pourraient revenir à trois points du Real en cas de victoire. Bien entendu, on n’y est pas encore. Mais la première partie de saison des hommes d’Unai Emerey est déjà la plus belle de l’histoire du club en termes de points et tout est là pour que ça continue.
 

 


 


Avec ses trois victoires en C3 en huit ans – auxquelles on peut rajouter deux coupes nationales et des succès dans les deux Supercoupes –, le FC Séville s’est affirmé comme l’un des clubs majeurs de ce début de siècle. Malgré les difficultés à suivre les deux monstres en championnat, il est néanmoins régulier en second rideau, représentant émérite de ce haut de tableau espagnol qui allie jeu de qualité et résultats en coupe d’Europe. Cette saison n’apportera peut-être pas de nouveau trophée, mais la qualité a rarement été aussi présente.


Avec neuf victoires sur les dix dernières rencontres (la dixième est un malchanceux nul sans buts contre Eibar), Beto et ses potes sont à bloc. Hormis la défense, où Trémoulinas et Kolozdiejczak font le boulot quand il faut épauler les tauliers Pareja, Coke ou Carriço, tous les autres postes sont occupés par des vrais joueurs de foot, des garçons qui aiment avoir le ballon dans les pieds et faire des passes. Ce qui s'est encore vu cette semaine. Sans M’Bia, c’est Iborra qui formait le double pivot avec Krychowiak à la récupération, dimanche, face à Malaga. On notera au passage que le recrutement du Polonais était sans doute l’une des bonnes affaires les plus simples à repérer du mercato.


Un peu plus haut sur le terrain, le talent est partout. Chez Banega, ce génie beaucoup trop intermittent dont le placement au coeur du jeu est néanmoins essentiel. Chez Deulofeu évidemment, lui qui n’a pas encore convaincu Barcelone et se console en faisant des passes décisives avec des balles piquées de l’extérieur, mais aussi Reyes, pour qui les difficultés n’ont jamais été au niveau des pieds. Et bien sûr devant, où Bacca enchaîne les buts et fait les bons choix quand il s'agit de participer au jeu. Avec de tels joueurs, on n'est jamais vraiment seul en pointe. 


Pour aller loin, il faut pouvoir faire face aux coups durs. Et Séville est justement très bien armé puisque son banc est parmi les plus homogènes: Vitolo, Gameiro, Aleix Vidal, Iago Aspas n'étaient pas alignés d'entrée dimanche, pas plus que Denis Suarez, l'un des nombreux "futur Xavi/Iniesta" d'Espagne, mais sans doute pas le moins crédible. Tant qu'il sera capable de faire des slaloms pour traverser tranquillement les défenses, tout devrait bien se passer. Et la Liga, qu'on peut trouver complètement déséquilibrée, continuera à fournir plein de candidats aussi sexy que crédibles à la victoire en Ligue Europa.
 

 

 

 

Antoine Griezmann et le QI football

Raphaël Cosmidis – Entre novembre 2014 et janvier 2015, Antoine Griezmann n’a pas changé. Il y a deux mois, le Français était le même joueur. Mais l’Atlético Madrid ne s’en était pas forcément rendu compte. L’ancien de la Real Sociedad, confiné sur le banc, entrait en cours de match, brillait, puis retrouvait la position assise, assistant aux combats des Colchoneros sans y participer. Depuis le 21 décembre, deux ans pile après la supposée fin du monde, Griezmann a inscrit cinq buts et donné deux passes décisives en six rencontres.
 

 


 


En milieu de semaine, les Matelassiers se sont rendus à Bernabéu, pour se défaire une énième fois du Real Madrid de Carlo Ancelotti (4-2 sur les deux matchs de coupe du Roi). Si Fernando Torres a signé son retour d’un doublé chez l’ennemi, c’est surtout la prestation de Griezmann qui a marqué les esprits. Placé juste derrière l’ancien attaquant de Liverpool, le Français a tout fait. Du jeu dos au but, de l’orientation, de la création (deux offrandes pour Torres). De l’intelligence, en fait, dans tous les secteurs de jeu. Maître du déplacement, Griezmann exploite parfaitement les espaces. Jeudi soir, il est allé toucher les zones abandonnées par Gareth Bale, problème chronique chez les champions d’Europe.


Griezmann n’a pas changé, mais l’Atlético change avec lui. Avec Koke d’un côté et Arda Turan de l’autre, Diego Simeone manquait parfois d’un animateur dans l’axe. Pas grave avec Diego Costa, qui terrorisait les défenses adverses et mangeait les longs ballons. Sans lui, l’Atléti a besoin de plus de variété. Griezmann crée celle-ci. Quand il va sur l’aile gauche, Koke prend l’axe. Et quelle facilité technique, encore attestée par son centre pour Torres lors de l’ouverture du score chez les Merengues. Un ballon déposé dans le dos de Sergio Ramos, surpris et battu. Par sa compréhension aïgue du timing (lors de la Supercoupe d’Espagne, il avait déjà exhibé son art de la “pausa”), Griezmann bonifie les contres rouge et blanc, offre quelque chose de nouveau aux champions d’Espagne. Et profite d’un statut nouveau, celui de titulaire.
 

 

 

 

On a aimé


Valence avait Jordi Alba. Mais Jordi est parti et il a fallu se débrouiller sans lui. Heureusement, le centre de formation a sorti Juan Bernat, qui a pu prendre le relais dans ce rôle de latéral gauche très offensif. Cet été, Bernat est parti au Bayern… et voilà désormais José Luis Gaya! Dix-neuf ans, encore une énorme activité face à Almeria et la passe décisive sur le but vainqueur d’Alvaro Negredo (3-2). La valeur d’un joueur étant son niveau moyen plutôt que maximum, on attendra avant de le comparer aux plus grands. Mais s’il continue sur une courbe ascendante, il n’y aura rapidement plus grand-monde au-dessus.


La renaissance de Fernando Torres, bien entendu visible en Copa face au Real avec un superbe doublé (2-2), mais également dans le jeu. El Nino a gagné 5 km/h de vitesse de pointe, ses touches de balle sont plus maîtrisées et l’histoire d’amour avec le public est tellement belle que, pour l’instant, l’idée qu’il puisse un jour y avoir des nuages semble loin.


Semaine après semaine, les coups durs s’accumulent à Lens, en dehors ou sur le terrain. Samedi après-midi, contre Lyon (0-2), Loïc Landre, de retour de blessure, a de nouveau été touché à l’échauffement, obligeant Antoine Kombouaré à revoir ses plans en défense. Mais semaine après semaine, les Sang et Or n’affichent aucun signe de résignation. Leur détermination et leur envie ne suffiront peut-être pas à combler leur inefficacité et leur déchet pour se maintenir, comme elles n’ont pas suffi à éviter la défaite face au leader de L1. Mais l’image affichée sur le terrain fait plaisir à voir.


L’entame de Chelsea à Swansea (5-0). Les Blues menaient 4-0 après trente-six minutes et ont affiché leur grande adaptabilité tactique. Exploitations fulgurantes de récupérations hautes à la Borussia Dortmund (l’efficacité en plus) et séquences à la barcelonaise comme sur le premier des deux buts de Diego Costa. Un régal que l’on n’a pas trop envie de gâcher en abordant la passivité défensive et la noyade de l’entrejeu des Swans.


Ghana-Sénégal (1-2) a donné lieu à une opposition de style intéressante à défaut d’être très enlevée, dans deux schémas tactiques hétérodoxes: deux 3-4-1-2. Les Black Stars ont misé sur une défense compacte et des flèches en contre, avec André Ayew en initiateur, Jordan Ayew en remiseur et Christian Atsu dans la profondeur. Les Lions de la Teranga ont eu manqué de créativité et de fluidité en première période. Leur passage en 4-2-3-1 à la pause a coïncidé avec une plus grosse pression et de meilleures combinaisons sur les ailes, d’où est venue l’égalisation de Mame Biram Diouf, avant le but plutôt logique de Moussa Sow au bout des arrêts de jeu.


 

 

On ne sait pas trop

 

La réussite sans enthousiasme de Monaco. Il y a du talent (Ferreira Carrasco, Silva, Berbatov), des patrons (Toulalan, Moutinho) mais très peu de joie dans le jeu monégasque. Alors ça fonctionne, oui, mais avec quelles difficultés... En Coupe de la Ligue, un Guingamp réduit à dix est parvenu à gêner la relance des Munegu. Cela dit, l’équipe de Leonardo Jardim n’a concédé qu’un seul but depuis le 2 décembre, et gagné neuf matchs sur dix. Une belle réhabilitation pour Pablo Correa.


 

 

On n'a pas aimé

 

Messieurs Alan, Diego Tardelli et Ricardo Goulart… pourquoi? Pourquoi aller en Chine alors que vous êtes en sélection nationale ou proche d’y être (ce qui situe le niveau du Brésil question attaquants diront les mauvaises langues)? Alors ok, l’argent, un championnat peut-être pas moins intéressant que ceux du Golfe, mais tout de même… Plus que les exemples Anelka, Drogba ou Hoarau, revient en tête le cas Alessandro Diamanti, absent d’un Mondial où sa place était assurée à cause de ce choix de carrière.


Le pont aérien ouvert par le Stade rennais au-dessus de Furiani, il y a une semaine, en Coupe de la Ligue (3-1). Le Bosnien Prcic a été le seul à vouloir poser un jeu autrement limité à de longs ballons vers Habibou, Toivonen et Moreira. Du gagne-terrain à l’anglaise, finalement inefficace et plutôt décevant quand on connaît l’appétance pour le beau jeu de Philippe Montanier et les joueurs à sa disposition.


Les journées passent et le PSG, même s’il gagne comme dimanche contre l’ETG (4-2), reste abonné à cette catégorie. Pour sa fébrilité défensive, qui a offert deux cadeaux aux visiteurs savoyards. Mais surtout pour la récurrente indigence offensive, symbolisée par un Zlatan Ibrahimovic loin de son influence habituelle – mais ce qui était habituel devient inhabituel pour le Suédois, ces dernières semaines. La guérison et le renouveau attendront.


Le jeu ennuyeux de Saint-Étienne face à Rennes, fait de centres, de centres et de centres. Presque aucun jeu entre les lignes et peu de surprises dans l’animation. Bon, les Bretons, privés de Paul-Georges Ntep, n’ont pas vraiment brillé non plus. Au final, un 0-0 (comme à l’aller, tiens donc) qui ne méritait pas mieux.

 

 

 

L'infographie de la semaine

 

L’évolution des buts marqués par match dans les différents championnats européens montre que les différences initiales ont été comblées ces dernières années. Seule la Bundesliga sort désormais légèrement du lot.

 

 

 

 

La décla


Les joueurs importants finissent par être des parties d’un système. Il y a des équipes qui ont beaucoup de bons joueurs mais ne fonctionnent pas. Untel joue bien, un autre joue bien et puis rien. Combien de minutes un joueur a le ballon dans les pieds? Très peu. Donc, quelle importance a l’espace qu’il occupe? Il est mieux pour eux d’être dans l’endroit que le coach a choisi pour eux pour une courte période. Les joueurs nous rendent meilleurs entraîneurs. On les prépare à jouer dans un espace, on a les idées mais c’est à eux de les compléter. S’ils font les mauvais choix… La différence entre Ancelotti, Löw et les jeunes qui entraînent en Segunda B (troisième division espagnole) est juste l’expérience. Sinon, on ressent tous la même chose. Certains peuvent transmettre leurs sentiments mieux que d’autres ou avoir des réactions qui impacteront leur équipe par la suite. Mais on connaît à peu près tous la même chose sur le football."

Ce bon vieux Diego Simeone (via @DianaKristinne).

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

 

 

Thomas Müller est génial, sans qu’on parvienne toujours à expliquer en quoi. Cette compilation de 15 minutes tombe à point nommé, six mois après une Coupe du Monde qu’il aura survolée.

 

 

 

 

L'anecdote


James Pallotta, le président de la Roma, est en pleine joute verbale avec Claudio Lotito, son homologue de la Lazio, depuis le derby. Au milieu de quelques attaques plus ou moins bien senties sur le selfie de Totti, le trucage de match et l’état financier des deux clubs, on retiendra ce superbe communiqué sur le site de la Roma. La traduction, pour le plaisir et les non-anglophones: “Lotito continue de faire des déclarations bêtes et ignorantes à propos de l’économie de notre club. La prochaine fois que j’irai à Rome, j’essayerai de l’éduquer sur notre forte et profitable position financière de la manière dont je parlerais à un petit enfant (parlant lentement, avec le plus de mots à une syllabe que posible). S’il n’arrive toujours pas à comprendre, j’abandonne.

 

 

 

 

Le bonus Neuer hebdomadaire


Manuel n’a pas gagné le Ballon d’Or, il a donc décidé de sortir encore plus loin de sa surface et ne plus revenir dans son but en guise de protestation.

 

 

 

 

La revue de presse anglophone

 

Alexis Sanchez et Sergio Agüero dominent la Premier League chacun dans leur style.


Décryptage des problèmes offensifs de Manchester United, qui peine à marquer.


Longue interview de l’emblématique Cesar Luis Menotti, chantre du romantisme dans le football argentin.


Analyse tactique du Mexique de Miguel Herrera.


Un milieu de terrain défensif suffit-il à muscler un entrejeu? Les supporters d’Arsenal s’interrogent dans la perspective de la possible arrivée de Morgan Schneiderlin.


 

 

Réactions

  • Sens de la dérision le 20/01/2015 à 09h12
    Plusieurs remarques :
    - elle est superbe cette infographie sur le nombre de buts. Dommage qu'il manque la France. Je me demande ce que ça donne si on ne fait la courbe que sur les 30 dernières années (on dirait que ça augmente un peu).
    - c'est vrai que le cas Montanier est assez étrange. Je me rappelle qu'à son arrivée tout le monde s'était enflammé, moins qu'avec Bielsa mais dans le même style. Au final c'est le cimetière indien qui a gagné.
    - et si Guardiola était allé au Bayern juste parce qu'il y avait Neuer et qu'ainsi il pouvait poursuivre son idée : ne jouer qu'avec des milieux de terrain.

  • forezjohn le 20/01/2015 à 12h42
    Je vous trouve dur avec l'ASSE.
    Oui le match de samedi, n'était pas terrible et l'équipe manque parfois d'audace.

    Plus généralement, elle a beaucoup de mal à attaquer contre les équipes qui défendent bas et en bloc. Mais bon plutot que souligner les matchs ratés, vous pouvez aussi parler des beaux matchs, comme face à reims la semaine dernière ou des franches réussites comme la victoire lors du derby ou encore de la propension de Galtier à faire changer son équipe de schéma(Cette saison on a vu du 4-3-3, du 3-5-2, du 4-2-3-1, et dernièrement du 4-4-2)

  • Yohan Cowboy le 20/01/2015 à 13h32
    forezjohn
    aujourd'hui à 12h42
    ---

    Les Cartons sont hebdomadaires, donc il est logique que l'on y traite des matchs que l'on a vus dans la semaine écoulée.

    Un match raté ne remet absolument pas en cause la belle saison des Verts. Mais ce n'est pas déshonorant d'affirmer qu'elle est avant tout due à la belle organisation défensive plutôt qu'à l'animation offensive.

  • Abel pousseur le 20/01/2015 à 13h49
    Indéniablement, Sevilla fait une bonne saison, au-delà des espérances même. Amputé de Rakitic, le maître à jouer et Fazio à quelques heures du match de reprise, ils font mieux que se défendre. Bacca est précieux, Krikowiak, Aleix Vidal, Vitolo, Denis Suarez sont de bons joueurs, bien cadrés par Emery.
    Cependant, je pense qu'ils sont en surrégime. L'équipe à suivre est, je pense, Valence qui rivalise avec les cadors, alors que les andalous s'inclinent largement (4-0 contre l'Athelico et 5-1 contre Barcelone).

    Sinon, je dis, Attention!, retour de Pepe Mel aux commandes du Betis, victoire contre le leader invaincu et a bientôt le derbi.

  • forezjohn le 20/01/2015 à 14h03
    Yohan Cowboy
    aujourd'hui à 13h32

    forezjohn
    aujourd'hui à 12h42
    ---

    Les Cartons sont hebdomadaires, donc il est logique que l'on y traite des matchs que l'on a vus dans la semaine écoulée.

    Un match raté ne remet absolument pas en cause la belle saison des Verts. Mais ce n'est pas déshonorant d'affirmer qu'elle est avant tout due à la belle organisation défensive plutôt qu'à l'animation offensive.
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    Je suis d'accord, mais comme je le disais, je n'ai lu que des remarques négatives dans les cartons cette année, alors qu'il y avait des matchs intéressants à voir et analyser.

    Bref, amis dé-managers, laissez tomber les matchs des verts face aux équipes qui font le choix du béton contre les équipes du haut de tableau. ;)

  • Yohan Cowboy le 20/01/2015 à 16h08
    forezjohn
    aujourd'hui à 14h03

    Bref, amis dé-managers, laissez tomber les matchs des verts face aux équipes qui font le choix du béton contre les équipes du haut de tableau. ;)
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    Zut, j'aurais pas dû regarder PSG - Saint-Étienne il y a quelques mois alors !

  • magnus le 20/01/2015 à 23h24
    Il y a vraiment un brésilien qui s'appelle Ricardo Goulart? Entre le prénom et le nom, il y a bien en anagramme 3-4 Ballons de Plomb.

  • magnus le 21/01/2015 à 00h18
    Il y a vraiment un brésilien qui s'appelle Ricardo Goulart? Entre le prénom et le nom, il y a bien en anagramme 3-4 Ballons de Plomb.

La revue des Cahiers du football