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Dans les Cartons : Lille, La Corogne-PSG 2001 et Claudio Marchisio

C'est toujours pas la joie au stade Pierre-Mauroy, du coup on retourne en 2001, et on ajoute une odyssée dans l'espace turinois avec Claudio Marchisio, nouvel enfant de Sergio Busquets, malgré ses trois ans de plus. Sans oublier l'extrait d'un livre à paraître. 

Auteur : Les Dé-Managers le 26 Jan 2016

 

 
 
 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Lille est vilain

Christophe Kuchly – Le premier pétage de plomb de Frédéric Antonetti attendra. Pourtant, une défaite face à Troyes (1-3), à domicile et dans la foulée d’une élimination contre Trélissac, ça s’y prêtait bien. Mais non: l’entraîneur du LOSC est arrivé en conférence de presse assez tard – précision qui relativise le côté “à chaud” du moment –, le regard noir mais la voix toujours aussi douce, comme depuis son arrivée dans le Nord. Et, face à des journalistes décidés à savoir pourquoi une équipe remplie de trentenaires (Balmont puis Amalfitano, Mavuba, Obbadi, Civelli, Enyeama) peut s’effondrer toute seule à cause d’un but pris, il est resté assez vague. Le jeu proposé? Lui est satisfait et regrette surtout de ne pas avoir mis le 2-0.

 

L’avis se défend… si on prend le problème dans un sens qui arrange. Oui, Lille a eu toutes les occasions et aurait pu marquer une deuxième fois. Mais peut-on vraiment se satisfaire d’avoir comme meilleures situations après la pause un tir sans angle de Bauthéac alors qu’il y avait des gens au centre, une tête de Soumaoro sur coup de pied arrêté et une frappe foirée de Junior Tallo – dont on espère sincèrement que les prestations actuelles sont impactées par un manque de confiance et ne reflètent pas le vrai niveau? Quand l’équipe en face est aussi faible, pas vraiment. Et le public, qui a donné du sifflet à l’heure de jeu, est d’accord.

 

Tout ça pour dire que le LOSC, qui menait 1-0, aurait dû plier un match très facile s’il ne s’était pas mis à jouer en marchant, la tête probablement à la demi-finale de Coupe de la Ligue. À l’inverse, une fois l’improbable égalisation arrivée, Troyes a enfin ressemblé à une équipe de foot, dominant largement une équipe lilloise restée dans son faux rythme. La confiance, ça change tout. “Mentalement, on était mieux qu’eux”, confirme très sérieusement Claude Robin, à la tête d’un navire qui a coulé depuis un moment. Dans le genre constat qui fait mal…

 

 

 

La lune de miel entre Fred Antonetti et Lille aura été courte et n’aura pas eu besoin de dramatisation journalistique. Après les critiques d’Éric Bauthéac sur l’individualisme de certains, c’est maintenant le coach qui affirme que “le groupe ne vit pas bien”, ce qui se sait généralement assez vite mais s’avoue plus rarement. Si Junior Tallo cristallise les moqueries (même ses adversaires en CFA2, lorsqu’il allait en réserve, s’étonnaient de son niveau technique), le coeur du problème concerne Sofiane Boufal.

 

Contre Troyes encore, il fut l’un des seuls à proposer quelque chose, dribblant plusieurs défenseurs sans problème. Pour ce qui est du replacement, du jeu collectif et de l’envie de révolte quand les choses ont commencé à mal tourner, on était en revanche plus sur un match pour la 9e place à la Ligue des cahiers. Parfois, il est inutile de rentrer dans trop de considérations tactiques: si les mecs ne peuvent pas spécialement s’encadrer, même la meilleure des stratégies aura du mal à tenir. Pendant ce temps, Ronny Rodelin a l’air très heureux à Caen, Sehrou Guirassy a marqué pour son premier match avec Auxerre et Abdoulaye Diaby, vendu moins cher que Baptiste Guillaume n’a été acheté (valable aussi pour Michael Frey, lui aussi disparu du groupe), est meilleur buteur du championnat belge. De haut en bas, le LOSC commence à payer ses mauvais choix...

 

 

 

 

 

 

Match rétro : La Corogne-PSG 2001

Julien Momont – Quand le score passe de 0-3 à 4-3, il est tentant de conclure au réveil opportun d’une équipe jusque-là assoupie, ou à l’effondrement de la formation en tête sous le coup du relâchement ou d’une soudaine pression adverse. Pourtant, le scénario fou de La Corogne-PSG, cinquième journée de la deuxième phase de poules de la Ligue des champions 2001, est en fait simplement le rétablissement naturel d’une anomalie, certes facilité par quelques changements bien sentis côté Depor.

 

 

Car jusqu’à la 55e minute, les Parisiens ont bénéficié d’une réussite maximale, tant défensivement qu’offensivement. Dominé par le Depor, en difficulté sur les nombreux centres espagnols, Paris a frappé en contre, sur un tir d’Okocha dévié puis grâce à un exploit individuel improbable d’un Laurent Leroy livré à lui-même. Le troisième but, en revanche, est un modèle de contre-attaque face à des Galiciens qui s’exposaient de plus en plus. Le coup parfait, sauf que la friabilité défensive parisienne était perceptible depuis le coup d’envoi. Ce n’était qu’une question de temps.

 

Javier Irureta a forcé la main du destin en jouant le tout pour le tout, sans pour autant changer fondamentalement de système: à la pause, Pandiani remplace Emerson, le génial Djalminha recule dans l’entrejeu pour initier les attaques de plus bas; dans la foulée du troisième but parisien, Diego Tristan remplace Fran, Victor passe côté gauche et Makaay à droite. Le 4-4-2 initial se mue en 4-2-4 pour accentuer encore un peu plus une pression déjà forte. La clé offensive de ce Depor se situait sur les ailes, avec des latéraux, Manuel Pablo et Romero, portés vers l’avant, et la superbe qualité de centre de Victor et Fran notamment, deux ailiers traditionnels. Deux des quatre buts espagnols en sont issus. Les deux autres sont venus sur corner (de plus en plus nombreux face à un PSG qui reculait), dont un de Tristan sur son premier ballon touché.

 

 

Encore aujourd’hui, ce match est cité en exemple pour moquer le coaching de Luis Fernandez. Pourtant, à y regarder de plus près, ses choix se justifient tout à fait. Juste après le 3-0, Peter Luccin remplace un Mikel Arteta timide et un peu perdu au milieu; à l’heure de jeu, Éric Rabesandratana supplée Ali Benarbia, certes précieux en début de match sur les phases de possession parisienne, mais rendu inutile par la forte domination espagnole. Le système ne change pas: Paris reste en 5-4-1, Cissé passe couloir droit et Algérino monte d’un cran, pour solidifier mais aussi apporter sa percussion en contre, comme sur le 3-0. Le remplacement d’Okocha, qui commençait à flancher physiquement, par Igor Yanovski à un quart d’heure de la fin se défend également, avec l’idée de mieux neutraliser les centreurs espagnols. En vain, certes. Mais même sans ses joueurs offensifs sortis, Paris a eu quelques situations de contre, mal exploitées in fine.

 

Rien ne dit qu’en conservant sur le terrain des joueurs capables de mieux ressortir le ballon, le PSG aurait su résister. Après tout, même avec Benarbia et Okocha, Paris a quand même reculé de dix à vingt mètres après la pause et ne voyait plus le cuir. Le Depor était supérieur et l’a confirmé en concrétisant enfin ses nombreuses situations, porté par la dynamique d’un renversement de situation qui semblait inéluctable. Et ce quel que soit le coaching parisien.

 

 

 

 

 

Le teaser

 

Pour Comment regarder un match de foot ?, on a interrogé plusieurs entraîneurs sur ce qu'il fallait faire avec le ballon. Et bien, même s'ils n'ont pas la même moustache, Raynald Denoueix et Guy Lacombe sont en accord sur plusieurs sujets.

 

 

 

 

 

En vrac

Et si Edinson Cavani était en train de perdre sa place de titulaire au PSG? La prestation de Lucas contre Angers (5-1) risque en tout cas de convaincre encore un peu plus Laurent Blanc. L’entraîneur parisien a indiqué avoir commencé un travail différent avec le Brésilien, et s’est satisfait de ses progrès sans ballon. De plus en plus, Lucas dézone dans l’axe pour faire parler sa technique et sa vivacité dans les petits espaces. Ça marche en Ligue 1, mais il faudra voir en Ligue des champions si cela n’embouteille pas trop le jeu parisien.

 

L’expulsion d’un défenseur pose toujours un dilemme tactique à son entraîneur. Confronté à cette situation très tôt dans le choc contre Chelsea (0-1), Arsène Wenger a privilégié la vitesse de Theo Walcott et Joel Campbell pour jouer les contres. Cela n’a pas vraiment fonctionné, et c’est en réalité la qualité de point d’appui d’Olivier Giroud et sa présence sur les centres (vingt-deux au total dans le jeu côté Gunners) qui ont manqué. Pari perdu, pour cette fois.

 

Ok, l’Atlético de Diego Simeone fait parfois preuve de cynisme et gagne en marquant sur un coup de pied arrêté. Mais, même au paroxysme de ses mauvais jours, plus rares maintenant que les arrivées de Correa, Martinez, Carrasco et Vietto lui donnent plein de solutions offensives, il n’a jamais refusé le jeu comme l’a fait le FC Séville dimanche. Dès la première minute, l’équipe d’Unai Emery, qui a pas mal d’atouts, a balancé devant, vers Fernando Llorente (dont la titularisation à la place de Gameiro disait déjà tout) ou vers l’espace libre. Une stratégie façon “Barça-Inter 2010” qui a abouti à un 0-0 malgré la bonne volonté des Colchoneros et qui, on l’espère, ne fera pas école.

 

Mardi dernier, pour son deuxième match en trois jours contre le PSG, Toulouse a tenté un copier/coller. Après avoir déjà bousculé les Parisiens au Stadium (défaite 1-0, nous vous en parlions la semaine dernière), le Téfécé, de nouveau redoutable en contre dans son 5-4-1, a fait encore mieux en ouvrant le score. Le talent parisien a suffi pour renverser la situation (2-1), mais l’espoir est permis pour la troisième manche, demain, en Coupe de la Ligue.

 

Norwich et Liverpool (4-5) ont livré un match “typiquement anglais”, comme dirait l’autre: de l’intensité, des renversements de situation, des buts sans défense, des arrêts de jeu interminables avec de longs ballons dans la boîte et des défenseurs avants-centres. Si on déconnecte un peu son cerveau, c’est très agréable.

 

Il va bientôt prendre sa retraite mais arrive toujours à faire de belles choses: Clemens Fritz, le milieu du Werder, est largement responsable de la victoire contre Schalke (3-1). Une frappe de loin, deux centres parfaitement donnés en bout de course et son club qui s’éloigne un peu de la zone rouge.

 

 

 

 

 

Focus : Hertha Berlin

Entraîneur : Pal Dardai.
Système préférentiel : 4-2-3-1.
Classement : 3e de Bundesliga.
Possession : 50,1% (7e).
Jeu dans le camp adverse : 22% (18e).
Tirs par match : 9,4 (18e).
Tirs cadrés par match : 3,9 (12e).
Tirs dans la surface : 69% (1er).
Dribbles par match : 9,5 (10e).
Fautes subies par match : 15,5 (2e).
Tacles par match : 15,4 (17e).
Interceptions par match : 15,7 (16e).
Joueur clé : Salomon Kalou (MOG) : 9 buts (7e), 1,8 tir par match, 1,2 dribble par match, 0,5 passe clé par match, 75,5% de passes réussies.
(Statistiques WhoScored).

 

 

 

 

L'instantané tactique de la semaine

J. M. – Au programme aujourd’hui, le deuxième but de Norwich contre Liverpool. Chacun peut en tirer les conclusions qu’il veut (sélection multiple possible):

- Le choix le plus évident initialement n’est pas forcément le meilleur.

- Variante: on peut ne pas faire le bon choix tactique mais s’en sortir quand même.

- C’est bien l’appel qui provoque la passe et non l’inverse.

- Le marquage, c’est plus ce que c’était depuis l’apparition de la défense en zone.

- La défense des Reds est très rigolote.

 

 

 

 

 

 

Les déclas

“Bielsa est un révolutionnaire. Quand on fait une analyse complète de son travail, on voit qu’il a apporté beaucoup, une autre vision. Mais comme c’est malheureusement souvent le cas, les gens qui apportent quelque chose de nouveau sont fortement critiqués. En France, on l’a descendu dans les médias. Il n’avait pas gagné assez de titres? Le stade était rempli, il a fait rêver le public, les joueurs qu’il entraînait. Ses joueurs n’ont pas forcément gagné de titre, mais sont partis dans des clubs de prestige.”
Emilio Ferrera, l’entraîneur belgo-espagnol aujourd’hui à Louvain, dans une interview à la DH.

 

"La technique est toujours maître dans le monde du football professionnel. Elle détermine la position de chaque joueur dans l’équipe. Quelqu’un doté d’une technique fine doit jouer au milieu, parce que les espaces y sont souvent réduits et une bonne maîtrise du ballon est requise. Pour un ailier, un avant-centre ou un défenseur, une autre sorte de technique est nécessaire. Une bonne analyse technique de chaque joueur est essentielle dans l’exécution des tactiques. Il faut éviter qu’un joueur soit forcé de réaliser quelque chose qu’il ne maîtrise pas. Ainsi, le but de l’entraînement est de se focaliser sur l’individu pour qu’il progresse."
Johan Cruyff, dans sa chronique hebdo pour De Telegraaf.

 

 

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

Depuis le départ célinien d’Andrea Pirlo, la Juventus a donné les clés de la boutique à Claudio Marchisio. À trente ans, le relayeur est devenu “deep-lying playmaker”, terme barbare utilisé parce qu’on n’a pas encore trouvé mieux en français. Depuis le rond central, l’international italien distille de bons ballons entre les lignes, et fait en sorte d’assurer une possession de balle de qualité. Une reconversion éclair qui permet à la Vieille Dame de croire à un cinquième Scudetto de suite après sa victoire sur la Roma dimanche (1-0).

 

 

 

 

 

 

La revue de presse (presque) anglophone

Vous vous demandez pourquoi Zinédine Zidane est le meilleur entraîneur possible pour Isco? Non? Lisez ça quand même.

 

Joe Allen est l’un des tacleurs les plus assidus de Premier League. Il détient peut-être la clé de l’entrejeu du Liverpool de Jürgen Klopp.

 

Dans l’ombre de Gonzalo Higuain et Paulo Dybala, un autre attaquant brille en Serie A cette saison: le Génois Leonardo Pavoletti.

 

Pedro et Chelsea, ça n’a pas l’air de trop coller. Tentative d’explication.

 

Cette saison, on ne peut plus trop se moquer des gardiens de Premier League.

 

Ça va leur faire tout drôle à Swansea, tactiquement, avec Francesco Guidolin.

 

Petit lot d’analyses tactiques du week-end en Bundesliga: Hambourg-Bayern et Gladbach-Dortmund.

 

 

 

 

 

 

 

Réactions

  • Ba Zenga le 26/01/2016 à 08h19
    Merci pour le revival La Corogne-PSG qui confirme les impressions et le souvenir que j'avais de ce match. Un retournement de situation un peu ouf, mais pas tant que ça, tant cette équipe était supérieure (et très agréable à voir jouer).

  • beltramaxi le 26/01/2016 à 09h55
    La Corogne était une belle équipe et on ne saura jamais, n'empêche qu'enlever Okocha, Benarbia et Arteta, surtout pour ces rentrants-là, c'est à dire des joueurs assez peu en confiance et d'un niveau radicalement inférieur, c'est suicidaire. On jouait quand même déjà avec 5 défenseurs !

    Depuis ce jour, je sursaute à chaque fois que quelqu'un m'appelle "ma caille".

  • Sens de la dérision le 26/01/2016 à 10h07
    "Ses joueurs n’ont pas forcément gagné de titre, mais sont partis dans des clubs de lien
    Ça devient quand même n'importe quoi les arguments des afficionados de Bielsa.

  • la menace Chantôme le 26/01/2016 à 10h19
    “deep-lying playmaker”, terme barbare utilisé parce qu’on n’a pas encore trouvé mieux en français

    > Meneur reculé ?
    Je n'invente rien :)
    D'ailleurs : lien

  • Belmondo Bizarro le 26/01/2016 à 11h35
    Sur Marchisio: super match contre la Roma, c'est vrai, mais il a pas mal d'espace pour lui, non ? A plusieurs reprises l'équipe romaine lui laisse bien le temps de décider quoi faire.

  • Daijinho le 26/01/2016 à 11h43
    Je plussune La menace Chantôme. S'il est bien un terme facilement traduisible de l'anglais au français, c'est "playmaker". C'est suffisamment rare pour être noté, car les deux mots représentent exactement le même concept.
    "deep-lying" veut bien évidemment dire "reculé".
    Et quitte à utiliser un terme étranger, autant utiliser l'original. On parle d'un regista, dans les cas de Pirlo et Marchisio.

  • magnus le 26/01/2016 à 12h06
    Belmondo Bizarro
    aujourd'hui à 11h35
    "Sur Marchisio: super match contre la Roma, c'est vrai, mais il a pas mal d'espace pour lui, non ? A plusieurs reprises l'équipe romaine lui laisse bien le temps de décider quoi faire."

    Oui, il a très peu été pressé.
    Il avait été très convaincant à ce poste l'an dernier quand Pirlo était blessé ou laissé sur le banc, ce replacement est aussi logique que réussi.

  • Ba Zenga le 26/01/2016 à 12h26
    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 10h07

    "Ses joueurs n’ont pas forcément gagné de titre, mais sont partis dans des clubs de lien
    Ça devient quand même n'importe quoi les arguments des afficionados de Bielsa.

    --

    Peut-être pas cette partie-là en effet, mais tout ce qui est dit avant est parfaitement juste. Ici à Marseille, on s'est régalé l'an dernier et l'envie de voir l'OM était revenue. Depuis, elle est repartie.

  • Sens de la dérision le 26/01/2016 à 13h12
    Je sais bien mais cette phrase m'a particulièrement fait rire.

  • Jean-Luc Skywalker le 26/01/2016 à 13h21
    15 ans après, toujours aucune envie d'entendre parler de La Corogne-PSG, surtout si c'est pour dire qu'ils ont fini par gagner parce qu'en fait c'était pas normal qu'ils ne gagnent pas. MERCI BIEN.
    Comme match retro, je vous propose Marseille-Etoile Rouge, France-Bulgarie 93, Auxerre-Dortmund, au choix.

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