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Le Feuilleton de la L1, épisode final

Il a mariné, mais il ne sent pas le poisson: l'ultime avatar du FL1 donne dans le check-up intégral et le best-of des lucarnes.
le 16 Juin 2005

 

1. Olympique lyonnais Toujours pas favori au début de saison dans le sondage de L'Équipe, l'OL déjoue les pronostics de ceux qui n'ont pas encore compris qui est le patron en L1, réussissant notamment l'exploit de finir avec la meilleure attaque sans véritable buteur. Le club n'a plus que des problèmes de riche, et pourra même survivre au départ inopiné de son entraîneur triple champion de France. Lyon, le modèle à suivre que personne ne parvient plus à suivre... Le point positif : il y a encore une équipe qui joue au football en France. Le point négatif : une fête à base de colorants capillaires commencée à trois journée de la fin, c'est vraiment pénible pour tout le monde. À relire : Les Lyonnais au stade de transe Lyon, inexorablement Partir quand même

La nouvelle image de l'OL : du fun, du fun et encore du fun.
2. Lille OSC Après avoir attendu dès décembre le moment où les Lillois, ayant démarré leur saison en juillet, allaient craquer, il a fallu se résoudre peu à peu à l'évidence : Lille allait bien être la deuxième meilleure équipe française cette saison, et cela en grande partie grâce à un remarquable turn-over qui n’a jamais altéré les résultats — et en dépit de l’obligation de jouer ses matchs à domicile sur la piste d’athlétisme de Villeneuve-d’Ascq. Son mérite principal fut de limiter la durée de sa baisse de régime au seul mois de mars, alors que ses principaux concurrents durent subir des crises plus durables. Avant la période hégémonique lyonnaise, Lille aurait été le champion surprise annuel. Le point positif : on entend moins Gervais Martel dans le Nord. Le point négatif : il manque un sourire au LOSC. L’arrivée de Charles Biétry n’est donc pas à exclure.

Tifo lillois : au lieu de jeter des confettis sur la pelouse, les supporters remettent à leurs dirigeants des centaines de feuilles A4 soigneusement rangées dans des classeurs.
3. AS Monaco Après s'être fait dépouiller en 2004 comme un vulgaire champion nantais, Deschamps n'a cette fois ci pas eu le nez très creux en matière de recrutement. Une greffe difficile et une défense décimée par les blessures ont rendu la saison de Monaco chaotique, alors qu'elle fut étonnement calme en coulisses. Une troisième qualification consécutive en Ligue des champions atteste néanmoins d'une position de locomotive dont la L1 a vraiment besoin. Le point positif : Monaco, c'est toujours la France. Le point négatif : si Deschamps décroche le titre la saison prochaine, Michel Pastor va se sentir obligé de plonger dans la piscine du vestiaire en slip kangourou.

Scandale de la défiscalisation : l'AS Monaco arrive même à se payer des joueurs de NBA.
4. Stade rennais Enfin une saison à la hauteur des ambitions de François Pinault. L’Abramovitch de l’Ouest n’a cette fois pas cédé à ses dépenses somptuaires et a permis à Bölöni de mettre sur pied une équipe offensive, avec notamment une doublette Frei-Monterrubio qui truste les titres de meilleur buteur et meilleur passeur. Pour couronner le tout, des jeunes prometteurs émergent. Si le Stade rennais n’avait pas attendu la toute fin de la saison pour apprendre à gagner à l’extérieur, il aurait même pu prétendre à un meilleur classement final. Tout ça semble presque trop beau pour être vrai. Le point positif : le meilleur buteur de L1 reste à Rennes. Le point négatif : il est aussi glamour qu'un nouveau talent découvert par Pascal Sevran. À relire : Armor Luxe

Il faudrait expliquer à Monterrubio que ce n'est pas la peine de sauter par-dessus les faux panneaux de pub.
5. Olympique de Marseille L'OM 2004/2005 restera dans l'histoire comme l'équipe qui aura inventé la saison aux trois présidents, deux directeurs sportifs et deux entraîneurs (avec en prime, un "auditeur-censeur" en la personne d'un organisateur de combats de boxe). Toujours annoncée prétendante au titre, toujours en crise en décembre tout en pointant à la quatrième place, toujours éliminée en coupe par le PSG, toujours pas une ligne de plus au palmarès. Bref, rien à signaler, si ce n'est que les journalistes doivent se pourlécher les babines de la saison qui s'annonce. Le point positif : grâce au retour de José Anigo, l'OM va renouer avec un management rationnel et pondéré. Le point négatif : même les supporters commencent à se lasser. À relire : OM : la déconstruction Un Marseille à trous À rebours

Le sergent Anigo attend Frédéric Déhu, un peu inquiet : c'est l'heure de la palpation dans le vestiaire.
6. AS Saint-Étienne Au jeu des bonnes surprises de la saison, Saint-Étienne a tiré son épingle du jeu grâce à un sprint final plus brillant qu'une entame laborieuse. Baup semble avoir retrouvé sa touche bordelaise avec un effectif homogène, porté par la fièvre verte, et qui termine avec la troisième meilleure défense de L1. Même Piquionne ressemble de nouveau à un joueur de foot. Comme quoi, avoir un gardien grave ne nuit pas forcément à la santé. Le risque, c'est que tout le monde s'enflamme. Le point positif : les 7-11 ans ne sont peut-être pas tous condamnés à devenir des supporters lyonnais. Le point négatif : les 35-50 ans vont encore mariner dans leur jus passéiste. À relire : Bain de jouvence dans le Chaudron

Les Verts ont beaucoup rétréci depuis leurs grandes heures.
7. RC Lens On y a cru, pourtant, à cette équipe technique, dont les jeunes pousses — Thomert, Utaka — arrivaient à maturité, et qui avait été significativement renforcée par les arrivées de Carrière, Cousin et Leroy. Mais, trop inconstant, le RCL n’a jamais su peser sur le déroulement d’un championnat qu’il a traversé assez anonymement. Ultime outrage, il s’est laissé voler la vedette par un LOSC qui ne jouait même pas à domicile... Mais Gervais M. s’en fout : le menton dressé, il regarde fièrement vers l’avenir radieux que lui promet le centre de la Gaillette, à côté duquel La Turbie rénovée ressemble encore à un Algeco de chantier. Le point positif : les Lensois peuvent refuser de prêter leur stade aux Lillois pour la Ligue des champions. Il n'y a pas de petit bonheur. Le point négatif : on pensait ne plus jamais entendre une chanson de Pierre Bachelet. À relire : Terril en la demeure

Drame de la chirurgie esthétique : après Emmanuelle Béart, Éric Carrière est la nouvelle victime d'une opération des lèvres ratée.
8. AJ Auxerre Si le départ de ses quatre internationaux A a été plus ou moins surmonté, l’AJA n’a pourtant pas fait de merveilles en championnat, notamment en raison d’un nombre important de blessures de ses joueurs cadres. Mais la maison a de la ressource, comme l'indique sa victoire dans une Coupe de France (qu’elle a été la seule des "grands clubs" à vraiment désirer), et même son passage remarqué en UEFA. Reste que sans le chanoine Roux, l'avenir de l'Abbé-Deschamps est terriblement incertain. Le point positif : le remplaçant de Guy Roux a été vite trouvé. Le point négatif : c'est Jacques Santini. À relire : Le Roux tourne

"Même à Ostrava on avait des vestiaires plus modernes".
9. Paris Saint-Germain Selon un schéma gravé dans le marbre, le PSG a fait suivre une belle saison de reconstruction par une saison de grand guignol. Coach Vahid a mauvaise presse, une taupe sème la zizanie dans un effectif déjà perturbé, les supporters font grève et Francis Graille finit par être débarqué par l'actionnaire. Laurent Fournier remplit sa mission: assurer le maintien. Après ça, qui peut encore croire que le club parisien peut accomplir quoi que ce soit de significatif? Le point positif : sur un malentendu, Paris a battu Lyon à Gerland. Le point négatif : Paris s'est battu tout seul le reste du temps. À relire : Y a-t-il une vie après la crise? Mercredi des cendres À rebours

Selon vous, Helder :
1. Baille d'ennui devant l'indigence du jeu du PSG.
2. Est frappé de stupéfaction devant l'indigence du jeu du PSG.
3. S'est assis trop brutalement sur l'aérosol du kiné.
10. FC Sochaux La concession Peugeot de Jean-Claude Plessis a vivoté cette saison, sans retrouver l'éclat de la précédente. Ça ne sent pas la fin de cycle que pour Guy Lacombe. Avec les départs de Santos, Monsoreau et peut-être Matthieu, le Stade Bonal pourra concentrer son affection sur le prometteur Menez, à moins que le florissant centre de formation local ne fournisse quelques jeunes loups capables de battre son record du triplé le plus rapide de tous les temps. Le point positif : Ilan reste. Le point négatif : tous les autres s'en vont.

Malgré sa réputation de danseur, Jaouad Zaïri n'est pas très convaincant dans son interprétation en collants de la mort du cygne.
11. RC Strasbourg Hésitant sous Kombouaré, le Racing s’en est remis aux vieilles recettes de l’inoxydable Jacky Duguépéroux pour finir en roue libre et attraper au passage une Coupe de la Ligue (à bas la Coupe de la Ligue) qui le propulse en UEFA pour la saison prochaine. Alors que les brillants Pagis et Niang attisent les convoitises, les coulisses bruissent à nouveau d’un parfum de guerre civile. À suivre, avec fatalisme… Le point positif : étrangement, Pagis aura été le seul des anciens Sochaliens à briller cette saison. Le point négatif : on n’aura pas eu le temps de voir Egon Gindorf en slip kangourou pour fêter la victoire en Coupe de la Ligue.

Le président strasbourgeois n'est pas en train d'annoncer la reformation des Leningrad Cowboys, mais le limogeage d'Antoine Kombouaré.
12. OGC Nice La saison de Nice n'est décidemment pas la meilleure campagne de pub pour le jeu offensif en L1. En essayant d'ouvrir le jeu et d'éviter les 1-0 stressants, Gernot Rohr a vécu une saison calamiteuse et le maintien en L1 a été obtenu grâce à une "bonne" série lors de quatre derniers matches (deux 0-0, deux 1-0). Vahirua a un peu pagayé, les autres ont beaucoup ramé. Le point positif : Gernot Rohr n'accusera plus les arbitres de défavoriser Nice. Le point négatif : Gernot Rohr accusera les arbitres de défavoriser Bordeaux.

Le problème de la défense en ligne niçoise, c'est qu'elle joue beaucoup trop bas.
13. Toulouse FC Une saison à deux vitesses qui aura vu les Toulousains commencer pied au plancher avant de dégringoler lamentablement une fois le maintien assuré. Même Jérémie Janot est venu chambrer les spectateurs en jouant avec le maillot du Stade toulousain. On retiendra toutefois un recrutement judicieux — Dalmat ; Moreira — qui semble se poursuivre avec l’acquisition de Santos. À l’image de Rennes passé devant Nantes, le TFC va-t-il à présent faire régulièrement la nique à son voisin bordelais? Le point positif : la belle demi-saison toulousaine n’aura pas permis à Stéphane Dalmat d’intégrer l’équipe de France. Le point négatif : les Toulousains ne savent jouer que le maintien.

Avec un minimum de tact, c'est un autre journaliste que Canal+ aurait envoyé interroger Christophe Revault.
14. AC Ajaccio Improbable assemblage d’espoirs déçus, de vieux routiers et de Brésiliens en goguette, le radeau ivre de la Corse a bien failli sombrer avant la reprise en main du vieux matou Courbis, qui a transformé le champ de patates de René-Coty en champ du déshonneur pour la plupart des grosses écuries, reparties la queue entre les jambes, sous les quolibets d’Andre Luiz et compagnie. Un tour de force qui tient du miracle insulaire. Le point positif : Cyril Chapuis est encore en course pour le Ballon de Plomb. Le point négatif : toujours non conforme, le stade François-Coty va obliger les Ajacciens à jouer à Istres.

Dans une demi-seconde, Rolland Courbis va :
1. Sortir une excuse foireuse ?
2. Proférer une remarque désobligeante pour une région non-méridionale ?
3. Partir dans une diatribe contre la fiscalité française ?
4. Se vanter de ses immenses qualités d'entraîneur ?
5. Dénigrer le niveau du championnat de France ?
6. Tout ça en même temps ?
15. Girondins de Bordeaux Les dirigeants bordelais ont mis un point d'honneur à donner des arguments à leurs supporters, qui réclament depuis deux ans leur démission. Le pari de la jeunesse et le discours burné de Pavon n'ont mené qu'à une triste quinzième place. Le seul frisson de la saison aura consisté en la menace de la L2, qui a fini par devenir tangible en à quelques journées de la fin. Le point positif : à en croire Michel Pavon, les joueurs auront au moins réussi à prendre du plaisir une fois en se "vidant les couilles". Le point négatif : c'était pour obtenir un 0-0 à Ajaccio. À relire : Les Girondins marinent

Samedi, 21h37. Jean-Paul II meurt à Rome, et David Jemmali pleure des larmes de sang à Bordeaux. Si ça se trouve, c'est lui le Messie.
16. FC Metz Après s’être surpris à croire en un destin brillant en début de saison, sous l’impulsion d’un Ribéry intenable et de quelques autres miraculés de la vie et du National, Metz a fini par sagement rentrer dans son rang d’éternel combattant pour le maintien. L’année prochaine comme tous les ans, on verra encore Serrezdum, Kastendeutch, Cartier et Pascal Pierre défendre l’honneur grenat. Le point positif : bien que très lié à Robert Pires, Pierre Ménès n’a pas été contacté pour relancer ce club-là. Le point négatif : Joël Müller, si.

Carlo Molinari prévient : si BMW ne verse pas trois millions d'euros au FC Metz, il continuera à porter cette casquette.
17. FC Nantes Ponctuée par une mutinerie et conclue sur un "miracle", la saison du FCNA aura donné dans le mélange des genres. Au moment où le spectre d'une relégation fit peur à tout le foot français, on se rendit compte que la maison jaune avait beau être classée monument historique, elle n'en était pas moins redevenue un club normal: lâché par sa formation, agité par les crises internes, victime de la politique incohérente de ses dirigeants, déstabilisé par un actionnaire flou, et pour finir, entaché par les exactions de certains supporters. Une saison qu'on oubliera, sauf si elle prélude à pire... Le point positif : un maintien arraché à la dernière seconde, ça permet de faire une super teuf. Le point négatif : après avoir laissé filer bon nombre de ses meilleurs joueurs au cours des dernières années, le FCNA n'a toujours pas conclu le transfert de Jean-Luc Gripond. À relire : Le flop-modèle nantais Restons classiques

Le problème du centre de formation de Nantes, c'est que les joueurs en sortent de plus en plus tard.
18. SM Caen Si le maintien se jouait au mérite, le Stade Malherbe ne serait pas descendu: ses ambitions dans le jeu et son public fervent ont en effet été bien mal récompensés, en dépit d'un départ réussi et d'un finish qui leur a permis d'espérer jusqu'au bout. Mais comme en finale de la Coupe de la Ligue (à bas la Coupe de la Ligue), les valeureux Normands ont cédé dans la dernière ligne droite du championnat… Le point positif : comme club SM, il nous reste le PSG Le point négatif : pour remonter au plus vite en L1, les dirigeants caennais songent sérieusement à remplacer le virevoltant Mazure par l’immobile Bakari.

Si la chambre de Vincent Planté est décorée comme sa cage, c'est sa mère qui doit faire la gueule.
19. SC Bastia Perturbé par le procès Pieri, par des remous internes et par des manifestations racistes — domaine dans lequel l’entraîneur a su rivaliser avec les supporters —, le club des joyeux trentenaires n’a cessé de danser au bord du précipice… avant d’y chuter lourdement. C'est ce qu'on peut appeler une victoire de la logique extra-sportive. Le point positif : avec Adriana en tribune, il y a eu du monde au balcon de Furiani. Le point négatif : Née, André et Karembeu dans une équipe de Ligue 1, pas sûr qu’on revoie ça un jour…

À la différence de José Anigo, ce sont ses propres couilles que François Ciccolini cherche dans le vestiaire.
20. Istres La belle histoire istréenne dans la L2 2003/2004 a viré au saumâtre à l'échelon supérieur: contraints de jouer dans un stade des Costières livré sans la pelouse, affligés d'une attaque famélique, les Provençaux ne remportent leur première victoire qu'en décembre et touchent le fond face à des Lillois qui déroulent pour un mémorable 8-0. Le point positif : In Gravelaine We Still Trust. Le point négatif : Maurice remplacé par Bakayoko au mercato, ça avait pourtant de la gueule.

Heureusement, Xavier Gravelaine et Jean-Louis Gasset ont hurlé assez fort pour que le banc lyonnais se protège du projecteur décroché par Ibrahima Bakayoko sur sa dernière frappe.

Réactions

  • Trezegouette le 16/06/2005 à 01h30
    Preuuuuums !

    Retro sympa ! dommage que les vignettes ne soient pas nouvelles.. Celle sur Helder est quand même cultissime !
    Raaah maintenant plus d'un mois à tenir sans vignette.. dur dur..
    Merci quand même les Cahiers et à l'année prochaine !


  • jayjay59 le 16/06/2005 à 01h36
    Franchement, quand je vois le président du RCL en Leningrad cowboy, j'ai quand même failli m'étouffer de rire...

    Bel hommage aux Lillois, après une saison assez peu diserte de la part des CdF (à part le cultissime JP Sacdefiel dans la version papier...)

  • paulo les gaz le 16/06/2005 à 01h42
    Joie !

  • babou le 16/06/2005 à 01h59
    paulo les gaz - jeudi 16 juin 2005 - 01h42
    Joie !

    ___________

    ça fait catholique ce genre de déclaration c'est dingue ...

  • babou le 16/06/2005 à 02h13
    ceci étant dit,

    joie aussi.

  • paulo les gaz le 16/06/2005 à 02h16
    copieur.

  • babou le 16/06/2005 à 02h18
    certes

    (enfin !)

  • wedr2 le 16/06/2005 à 03h14
    Enfin, c'est beau mais ça pointe une des dernières lacunes des CdF : seuls 9 clubs ont eu droit à un article, pourtant il y avait à dire sur Istres, Toulouse ou Monaco...

    La vignette Feinduno est ma préférée, même si je suis déçu de l'absence de Janot.

  • Larry Poste le 16/06/2005 à 08h58
    "Ultime outrage, il s’est laissé voler la vedette par un LOSC qui ne jouait même pas à domicile"

    Petits filous, vous faites tout pour voir une vraie équipe de foot au stade de France en LdC.
    Mais, je m'insurge en faux, c'est l'amour entre le RcL et le losc.

    Sinon, grand merci pour la saison et la bonne humeur de la fin de semaine.

    (et je vous saurai grés des propagander notre union entre le RcL et le losc, je souffrirai de monter à la capitale pour la LdC)

    Veuillez agréer poignées de mains, tout ça...

  • vendek1 le 16/06/2005 à 09h00
    La vignette sur Anigo et Dehu est magique !!
    Celle sur Molinari n'est pas mal non plus.

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