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La Gazette > 37e journée

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 14 Mai 2008

 


Les résultats de la journée

Monaco-Auxerre: 3-0
Bordeaux-Sochaux: 2-0
Lille-Lens: 2-1
Rennes-Toulouse: 2-1
Lyon-Nancy: 1-0
Paris SG- Saint-Étienne: 1-1
Le Mans-Marseille: 0-0
Metz-Lorient: 1-2
Valenciennes-Nice: 1-2
Strasbourg-Caen: 1-4


Les 5 gestes de la journée

• L'horizontale de Richert complètement pris à contre-pied par le tir de Chamakh, mais qui parvient à le repousser du pied.
• L'abolition de la défense et la désintégration du gardien d'Ederson, d'un seul contrôle à l'entrée de la surface.
• La reprise matsuidiste de Pagis.
• La bicyclette de Toudic. Si, ça compte, même contre Strasbourg. Qu'est-ce que c'est que ce mauvais esprit?
• L'interception de Cris en coup de foulard, pour apprendre à Dia à soigner sa conduite de balle à l'avenir.



Les 5 antigestes de la journée

• Le dégagement des deux poings de Cassard dans le buffet de Dos Santos qui autogole comme dans un cauchemar d'Olivier Atton.
• L'arrêt sans les mains de Pelé, pleine face.
• La Djibril Cissé de Benoît Cheyrou, qui bombarde droit devant seul à deux mètres de Pelé, qui dispute le prix de la cagade qui coûte cher à Akalé auteur d'un beau raté de ballon à cinq mètres du but vide.
• L'attentisme Fred Dehu rules de Ducourtioux, qui laisse le ballon parvenir jusqu'à Koné, qui profite de la générosité pour planter.
• La Letizi attitude de Letizi, tout en décontraction, en laissant un coup franc lointain s'écraser sur sa barre.


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Patrick Montel nous gratifie cette semaine d'un discret lâcher de caisse dans les conditions du direct.
[Cette lucarne vous est offerte par le Diaporama des lecteurs]



La bannette

La face qui tombe pile
Élie Baup (L'Équipe) : "Cela est important d’avoir montré ce visage-là". C'était celui-là, ou bien celui de Sadran au réveil.

La chronique tactique de Didier Derlich
Claude Puel (losc.fr) : "Il fallait gagner ce match, nous le voyons en regardant les autres résultats".

Eul' Cluedo
Jean-Pierre Papin (L'Équipe) : "Le deuxième but lillois nous a assassinés". Dans le petit salon avec la Puel à tarte.

Le Jésus FC
Claude Puel (losc.fr) : "Nous sommes dans les prévisions d’avant-match, à savoir être dans les clous pour le dernier rendez-vous".

Le Aulas Michel-Jean de l'Est
Philippe Ginestet (L'Équipe) : "C’est un beau gâchis". Qui compense les réussites moches de Lyon.

Les liquidités
Mathieu Bodmer (sport24.com) : "Globalement, c'est une saison qui est plutôt bien remplie". Le cocktail OL, c’est trois-quarts de championnat, un quart de finale, et un président glaçant.

La fin du printemps
Antoine Kombouaré (L'Équipe) : "Nous sommes peut-être au bout du rouleau".

Le psycho-killer
Frank Dumas (L'Équipe) : "On les a tués dans la tête".

Le ticket pour un gang bang
Pablo Correa (olweb.com) : "On garde la main pour la troisième place".

Le Fort Bollaert
Jean-Marc Furlan (L'Équipe) : "On a toujours l’espoir de trouver les clés".

L'esprit de cor
Modeste M'bami (L'Équipe) : "Nous n’avons plus notre destin entre nos pieds".

Jean-Michel et les jargonnautes
Jean-Michel Aulas (C+) : "L'Olympique lyonnais se débat contre pas mal d'évènements contraires". Événements contraires, c'est le nom des dix-neuf autres clubs de L1 dans les présentations aux actionnaires de OL Groupe.

Le scandale du calendrier
Jean-Michel Aulas (Canal+) : "Ça avait commencé avec l'automne. Puis il y a eu l'hiver et puis il y a maintenant le printemps".

Le syndrome Yvon Pouliquen
Francis Gillot (girondins.com) : "J’ai félicité les joueurs dans le vestiaire, non pas pour leur prestation parce qu’il n’y avait pas de raison".

Le syndrome Jack Bauer
Jean-Pierre Papin (sport24.com) : "Il nous reste 90 minutes pour sauver la saison".

La médaille en chocolat allégé en sucre, sans cacao ni goût, ni emballage, ni rien
Rudi Garcia (RMC) : "(Les joueurs) ont montré que Le Mans méritait d’être classé parmi les huit premiers".



aulas_margotton.jpgAulas et les mécréants

En cette fin de saison orageuse, il manquait encore un grand moment de télévision d'après-match, et nul autre que Jean-Michel Aulas ne pouvait nous l'offrir. Les mains perchées sur les hanches, planté entre Grégoire Margotton et Alain Perrin, le président lyonnais a attendu que le micro se tende pour verser une colère froide, reprochant au journaliste d'avoir donné un peu légèrement un caractère officiel à "l'information" selon laquelle l'actuel entraîneur de l'OL ne le serait plus la saison suivante. Or, on ne se substitue pas aux célèbres communiqués d'olweb.fr sans subir quelques foudres. comme un communiqué d'olweb.fr improvisé en direct par leur auteur présumé.

La tirade se serait convenablement justifiée si elle n'avait, inévitablement glissé vers l'expression des psychoses traditionnelles de JMA quand il retire aux journalistes le droit de "supputer ses intentions ou celles du conseil d'administration de l'OL", puis quand il allie la théorie des vilains jaloux qui fomentent des "événements contraires" au classique regret que l'union sacrée ne se fasse pas autour de la success story de l'OL: "Mais de qui se moque t-on? On est aujourd'hui en France dans un pays développé, démocratique, où les gens qui investissent et qui ont de bons résultats doivent être encouragés". Le tout devant un Alain Perrin transformé en figurant. Et faire de la figuration, c'est un peu le destin des entraîneurs à Lyon.


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"Les résumés des rencontres de cette soirée étant annoncés comme assez ennuyeux, je vous conseille de bien tirer sur vos joints, comme ceci".
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La métaphore de saison

Il en est des mots du foot comme des fruits et légumes, ils poussent en des périodes bien spécifiques chaque année. Et si ces dernières semaines, nous étions en pleine saison du "grand pas vers le maintien" et du "spectre de la relégation" (après une période joyeusement garnie d'équipes ayant "grillé leurs jokers"), nous voilà rentrés dans la grande semaine annuelle de l'équipe qui a son "destin entre ses mains", accompagnée de sa variété OGM, l'équipe qui a son "destin entre ses pieds".  Les quinze citations ci-dessous ont été pêchées en deux jours dans L'Équipe. Un tour sur la toile permet de constater que le virus est grandement contagieux.

Le club phocéen n’est pas maître de son destin. - On jurerait que la plupart des Lyonnais auraient signé pour (...) conserver leur destin entre leurs mains, dans une semaine. - Pablo Correa : "Notre destin entre nos mains". - Les Lorrains ont donc leur destin en main à la différence des Marseillais. - Modeste M'bami: "Nous n’avons plus notre destin entre nos pieds". - Paris maître de son destin - Désormais, les Verts n’ont plus leur destin en main. - Paul Le Guen: "La première satisfaction, c’est bien sûr d’avoir notre destin entre nos pieds". - Malgré leur défaite, les Toulousains, qui accueilleront Valenciennes samedi prochain, restent maîtres de leur destin. - Les Toulousains restent maîtres de leur destin.Bordeaux ne possédant toujours pas son destin entre les mains, il doit absolument s’imposer à Lens. - Jonathan Brison: "On a toujours notre destin entre les mains". - Albin Ebondo: "Nous avons notre destin en main". - Grégory Bourillon sourit aussi parce que son équipe (...) tient son destin en main. - Samuel Michel : "Si nous voulons avoir notre destin encore en main, il nous faut déjà ces trois points-là". - L’Inter reste donc maîtresse de son destin.



Le sondage de plomb

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(yahoo.fr)




Le But ! de France 2 Foot

En période de transfert, tout est question de sémantique. L'ingénue Sonia Dauger a indéniablement potassé les eus et coutumes de la presse spécialisée pour appliquer les fondamentaux à sa chronique dédiée aux "informations" transferts de la rédaction de France 2 Foot. Attention: à la télé, c'est comme dans les kiosques à journaux: les informations à base de conditionnel, de peut-être et de quasiment peuvent nuire à la crédibilité des informations. Florilège des deux dernières émissions.

"Il semblerait que les dirigeants aient promis à Bafé un bon de sortie pour cet été. Le tout c'est de savoir si les dirigeants vont tenir leur promesse. Ils ont l'air de dire qu'ils veulent le garder. Ce qu'on sait c'est qu'il y a un bon de sortie, manifestement, qui a été promis".
• "Il y aurait peut-être un autre attaquant qui viendrait, peut-être à la place de Gomis pourquoi pas, c'est Steve Savidan. Il y a des contacts avancés, manifestement, donc il est fort possible que Steve Savidan se retrouve à Saint-Étienne l'année prochaine".
• "Rudy Mater, alors lui, c'est quasiment fait, c'est quasi signé, il s'en irait à Wolfsburg en Allemagne l'année prochaine, et c'est un transfert qui, manifestement, aurait coûté quatre millions d'euros".
• "Fabrice Abriel, lui, il part de Lorient la saison prochaine, c'est quasiment sûr, et il va rester en Ligue 1, normalement, les contacts sont particulièrement avancés à Bordeaux ou à Monaco".
• "Miralem Pjanic, il y a de fortes chances qu'il aille à Lyon l'année prochaine, c'est quasiment fait (...) il se serait mis d'accord avec Jean-Michel Aulas".
• "Modeste M'Bami va peut-être bouger la saison prochaine".
• "Arsène Wenger observe Jean II Makoun depuis plusieurs années déjà et a besoin de remplacer Flamini, donc ça pourrait éventuellement se faire".
• "D'autres joueurs de Ligue 1 pourraient intégrer le club londonien: le Sun et le Guardian ont annoncé que Nasri signerait éventuellement à Arsenal".
• "L'autre joueur qui pourrait jouer à Arsenal l'année prochaine, c'est Hatem Ben Arfa, c'est une piste un petit peu plus probable".
• "Ça serait étonnant que Jean-Michel Aulas fasse l'impasse sur vingt millions ou quinze millions d'euros, pour Hatem Ben Arfa".

Il se pourrait, pourquoi pas, que la rédaction de France 2 Foot, manifestement, se foute de la gueule du monde comme les autres avec des informations dont il est fort possible qu'elles soient quasi pourries. Peut-être, c'est sûr.



gaz37_gerets_bruet2.jpgGerets-Bruet : rétif et tondu

Le dispositif de multiplex sur Canal+ a permis d'ajouter au tableau d'honneur de la saison anti-arbitrale le "chasseur" Éric Besnard, qui officie habituellement sur Foot+. On a ainsi entendu à plusieurs reprises l'animateur glapir (littéralement) pour sommer le consultant Joël Quiniou de se prononcer sur des ralentis entr'aperçus, sur le mode "Est-ce que vous auriez sifflé penalty, hein Joël, vous auriez sifflé, vous?"

Dans la foulée, Jour de foot nous a gratifié d'un autre moment de grande misère journalistique: l'interview menée avec pugnacité par Philippe Bruet pour essayer d'embarquer un Éric Gerets récalcitrant dans des polémiques inutiles. Au-delà de la fin de non-recevoir du technicien belge, imperturbable, c'est surtout le sentiment d'incrédulité du journaliste qui est frappant, comme s'il était incapable d'intégrer un refus de discuter des décisions arbitrales, et confirmant à tout le moins son incapacité à parler football avec l'un des entraîneurs les plus captivants du championnat.

– Philippe Bruet: "Monsieur Layec va estimer qu'il n'y a pas penalty, juste votre avis? Joël Quiniou disait que Zubar avait accroché la jambe de Sessegnon (1). Éric Gerets?"
– Éric Gerets: "Vous savez, je n'ai pas donné de commentaire dans d'autres situations, donc je ne vois pas pourquoi vous me posez cette question, parce que vous savez très bien que je respecte les arbitres. Si vous me posez une question comme ça, c'est pour mettre des gens en difficulté et je crois qu'on n'a pas le droit de faire ça".
(...)
– Philippe Bruet: "La sortie de Pelé sur Mamadou Niang (2). Eh, on est dans Jour de foot en direct, je me permets de vous demander votre avis, vous êtes l'entraîneur de l'OM, Éric!"
– Éric Gerets: "J'ai pas commenté la phase précédente, je ne donne pas de commentaire sur celle-ci non plus".

(1) Gervinhio, en fait.
(2) Akalé, en fait.



gaz37_ol.jpg10 raisons pour que Lyon soit champion

• Il faut bien que quelqu'un se charge de détrousser Jean-Michel Larqué de son record de championnats de France gagnés, et on ne peut décidément pas compter sur Éric Carrière.
Grosso en bleu blanc rouge, ça vaut tout l'or du monde.
• Pour le plaisir de voir Aulas se tortiller afin de trouver une bonne raison au limogeage d'Alain Perrin.
• Parce que tant que Clovis Cornillac fête le titre, il ne tourne pas de films.
• Parce que depuis le temps, les 8-12 ans ont grandi et que la concurrence de Sinik et des filles se fait de plus en plus pressante dans le portefeuille du cœur de cible.
• Ce sera un titre que Ben Arfa aura toujours en plus que Djorkaeff.
• La moitié du chemin serait faite pour rejoindre le Skonto Riga tout en haut des records européens.
• Parce que l'évolution du besoin en fonds de roulement d'OL Group = 17% du CA, soit 9 points de plus que la moyenne des clubs cotés sur les seconds marchés européens. Le cash flow disponible est par conséquent 32% plus mobile que Johan Micoud.
• En tamponnant sa carte de fidélité, Sidney Govou obtiendra une prolongation de contrat automatique de sept ans.
• Pour que Crosas ait un truc à fêter en rentrant à Barcelone.



maradona_maillot.jpgC'est trop la classe d'être Corbier: il suffit de réclamer, et, direct, on vous amène Claude Barzotti pour faire un boeuf à la maison.
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Les observations en vrac

• Hé, les arbitres, ça fait quoi d'être mieux défendus par un immigré belge que par vos ex-collègues?
• Plessis qui s'en va, Sadran qui reste, Watanabe qui arrive... Un autre foot? C’est possible, mais ça ne va vraiment pas être facile.
• Quand Pelé feinte le gardien sans toucher le ballon et tire à côté il entre dans la légende. Quand Moreira feinte le gardien sans toucher le ballon et marque pour la première fois depuis son arrivée à Rennes, on refuse son but et on passe à autre chose.
• L'Agence mondiale antidopage n'aura pas eu le temps de mettre en place le contrôle longitudinal des commentateurs dans les conditions du direct de France 2 Foot.
• Voilà à quoi mènent les raccourcis statistiques dans les enchaînements de France 2 foot: "Pour Caen, c'est un exploit: dernière victoire des Caennais à Strasbourg, c'était le premier octobre 88 sur le score de 2 à 1". Il semble pourtant que gagner à Strasbourg par les temps qui courent, ce serait surtout un exploit pour Strasbourg.
• Un volontaire pour expliquer la différence entre une louche et un ballon piqué à Patrick Montel?
• Il ne manquait plus qu'une fiesta dans une ville d'Auxerre, que l'on imagine déjà déchaînée, pour compléter la cassette des flops de célébrations de titres lyonnais. S'ils perdent, les rushes du voyage retour à Lyon seront mis dans les bonus du DVD.
• Elle aura quelle gueule cette Ligue 1 qui regorge tant de jeunes gardiens prometteurs quand Christophe Revault et Grégory Wimbée la rejoindront la saison prochaine?
• On est obligés de regarder les deux dernières chroniques de Guy Carlier dans France de Foot? Ça devient difficilement supportable, là.



L’envers du championnat

La grande tournée du Racing Club de Strasbourg prend des allures de légende. La barre des trente points a beau être franchie depuis des lustres, cette série en cours de dix matches consécutifs sans écueil restera gravée dans le grand livre de l’envers du championnat. Jamais une formation n’avait présenté une carte de visite pareille après-guerre. Les performances du FC Metz et celle du Racing auront inéluctablement redoré le blason d’un championnat qui aura vécu, après une saison 2006-07 d’une grande banalité, l’un des exercices les plus remarquables de son histoire.

Les choses ne sont toujours pas réglées pour l’obtention du troisième ticket pour le paradis. Lens confirme son excellente passe de fin de saison en prenant une option. Il ne reste plus qu’à terminer le travail face à des Girondins bons à prendre en ce moment pour avoir la joie, que disons-nous, le privilège d’accompagner les deux légendes vers un monde meilleur. Mais Toulouse et le Paris Saint-Germain, s’ils n’ont plus toutes les cartes en mains, sauront faire vibrer leurs supporters jusqu’au bout en se tenant prêts à profiter d’un éventuel faux-pas des Sang et Or. 2007-08, la saison de tous les honneurs pour les Cht’is? Verdict final ce week-end…

Réactions

  • trevize le 14/05/2008 à 07h05
    "• L'horizontale de Cassard, complètement pris à contre-pied par le tir de Chamakh, mais qui le parvient à le repousser du pied."

    il est trop fort, cassard, il joue à la fois contre bordeaux et contre caen... j'imagine que dame Rédac' voulait souligner l'incroyable arrêt de Richert sur la dite tentative de Chamakh...

  • Francis Dolarhyde le 14/05/2008 à 07h24
    Faux, en se détandant à la Meinau pour détourner du bout du pied un ballon à Chaban-Delmas, Cassard a effectivement réussi l'un des arrêts les plus marquants de la décennie. Par contre, suite à cet hénaurme grand écart, les habitants de Moulins, dans l'Allier, sentent un peu le cul depuis samedi soir...

  • luckyluke le 14/05/2008 à 08h41
    C'est parce que c'est le sixième geste des cinq...

  • Le_footix le 14/05/2008 à 09h09
    "Parce que tant que Clovis Cornillac fête le titre, il ne tourne pas de films."
    ---
    Alors celle-là, elle est vraiment gratuite. Cornillac est un excellent acteur, et si on va par là, on peut aussi bien trouver un président d'une franchise NFL qui est tellement pote avec Al Pacino qu'il a adoré "la Recrue".

  • zouhire le 14/05/2008 à 09h19
    Pas de chance, le footix, Cornillac est est une tête de turc de Dame Rédac...bien fait pour lui d'ailleurs, il avait qu'à pas tourner dans des bides comme Astérix ou les Brigades du Tigre.

  • luckyluke le 14/05/2008 à 09h26
    C'est une tête de turc de la rédac, comme tous les Lyonnais!!




    (sauf Jacques Martin et l'abbé Pierre)

  • On meinau score le 14/05/2008 à 09h26
    Pas sympa de relever la coquille sur Cassard, j'avais pas fait attention et ça me faisait plaisir d'avoir un strasbourgeois dans les gestes de la journée.

    'ci pour cette gazette !!

  • José-Mickaël le 14/05/2008 à 09h44
    Pffff, qu'est-ce que ça chipote !

    Si c'était Louis de Funès qui était supporter de Lyon et non Clovis Cornillac, l'article aurait rédigé la blague avec Louis de Funès, voilà tout.

    Si c'était Auxerre qui s'apprétait à fêter un septième titre consécutif, l'article aurait mis dans les 10 raisons : pendant qu'il fête le titre, Gérard Depardieu ne tourne pas de film.

    Pas besoin de chercher des pous dans la tête de Dame Rédac.

    (J'ajoute que Cornillac est quand même l'acteur le plus omniprésent de la télé - il est même passé chez 100 % Foot - signe qu'il doit tourner plus de films que la moyenne, il est donc humain de lui souhaiter qu'il arrête un peu de tourner...)

  • Francis Dolarhyde le 14/05/2008 à 09h55
    et je re-j'ajoute que Clovis Cornillac n'a qu'un orteil, et que cela prouve qu'il n'y connait décidemment rien en football.

  • Tricky le 14/05/2008 à 10h40
    Puis surtout arguer de ce que Cornillac est censement un bon acteur presente pas mal de risques.

    Et il serait caennais que ca serait pareil.

La revue des Cahiers du football