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La Gazette > 9e journée

Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 19 Oct 2006

 

Le terrible combat entre les forces maléfiques anti-lyonnaises et les infâmes conjurés pro-lyonnais accorde une manche aux seconds: leurs dauphins marseillais et nancéens n'ayant cueilli qu'un point, ils creusent l'écart d'un air bêcheur.

Le Sud-ouest connaît un grand bond en avant qui permet à Toulouse et Bordeaux de donner l'impression qu'ils disputent les places européennes, Lille, Lens et Saint-Étienne leur laissant du champ.

L'arrière du ventre mou piétine un peu, alors le PSG en profite pour s'y enfoncer et les Rennais pour le recoller. Nice se requinque au milieu de la ligne des sept points, une peu surpeuplée, mais Nantes accroche la lanterne rouge à son funèbre cortège.


classement_0607_09.jpg


Les résultats de la 9e journée
Paris SG-Sedan : 4-2
Toulouse-Valenciennes : 3-0
Nice-Lorient : 3-0
Rennes-Auxerre : 3-1
Lyon-Saint-Étienne : 2-1
Bordeaux-Monaco : 1-0
Lens-Marseille : 1-1
Troyes-Lille : 1-1
Le Mans-Nancy : 0-0
Nantes-Sochaux : 0-2



Les gestes de la journée

> l'enchaînement roulette-empalement de Juninho sur Hognon, juste avant l'égalisation des Verts.
> l'arrêt de la face de Lloris sur la tête à bout portant de Namouchi et son arrêt tout court sur la grosse frappe de M'Bodji.
> le grand pont de Vahirua sur Morel, qui amène le deuxième but de Bellion.
> l'action collective des Niçois pour inscrire leur troisième but.
> La volée croisée d'Utaka sur l'ouverture du score pour Rennes.
> le centre sans contrôle de Cyril Rool qui trouve, avec une précision diabolique, la tête victorieuse de Bellion.
> l’ouverture d’Ederson pour le but de Koné.
> la feinte de frappe puis la percée puis la frappe de Melchiot qu’un Cool chauffé à blanc laissait à son poteau.
> le pointu d’Utaka pour conclure victorieusement un prototype de percée contemporaine, tout en puissance, zéro finesse.
> l’arbitrage bien dans l’esprit du jeu de M. Cailleux qui refuse le but de Le Tallec pour siffler un penalty en sa faveur.
> la parade d’une main de Janot sur le penalty pourtant plutôt bien tiré par Juninho.
> le bel esprit d’équipe de Juninho qui écarte ses coéquipiers venus le féliciter pour son but. Après tout, son petit intérieur du pied était quand même bien plus difficile que le déboulé tout en débauche d’énergie de Malouda qui s’arrache pour lui délivrer une secondaire passe décisive.
> l’extérieur du droit dans la foulée d’Emana, puis celui donné en retrait par Elmander sur le but de Batlles.
> l’hommage du jardinier de Troyes à Rio Mavuba, en tondant sa pelouse comme le coiffeur du Bordelais lui tond les cheveux.
> l’ouverture à contretemps, courte, ferme mais parfaitement dosée de Mamadou Niang pour Ribéry en début de deuxième mi-temps, qui élimine cinq adversaires en une seule touche de balle.
> l’interception vigoureuse, le déboulé seul face au but, l’intérieur piqué à mi-hauteur de Mamadou Niang repoussé par un Itandje remarquablement inspiré.
> les jambes de Mamadou Niang sur l’action entraînant le penalty : si Abdel Benazzi avait eu les mêmes, jamais il n’aurait manqué dix centimètres à l’équipe de France de rugby pour gagner sa demi-finale de Coupe du monde en 95.
> la "Hilton" de Hilton.



La bannette

L'amnésie nationale
Guy Lacombe (C+) : "Il n'y a jamais eu de crise au Paris Saint-Germain". Et Vikash Dhorasoo n'a jamais mis de but en finale de la Coupe de France.

Le statisticien à statistiquer
Philippe Doucet (C+) : "Reste à cadrer les cadres".

La géométrie invariable
Philippe Bruet (C+) : "Et on passe par les côtés latéraux".

La hiérarchie des priorités
Loïc Remy (olweb.fr): "Il y a deux matches importants pour les Lyonnais chaque année, c’est contre les Verts". Ça explique cette légère désinvolture lors des quarts de finale de la C1.

Le grosmentateur
Alexandre Ruiz (C+) : "Le retour de Mario Yepes devant cette caméra exclusive Canal, ça, ça fait du bien. Jacques, on a vécu un gros moment".

Le mélodrame à moustache
Guy Lacombe (psg.fr) : "Dans l'adversité, les joueurs se sont sentis injustement trahis".

Le footballeur de championnat à l'envers
Franck Signorino (L'Équipe) : "J'ai toujours joué le maintien".

Le David Copperfield albanais
Lorik Cana (om.net) : "J’essaie d’enlever mon corps et je ne peux pas".

Le pari tactique
Christian Gourcuff (L'Équipe) : "C'est difficile de réussir quand on n'attaque pas et quand on ne défend pas". En même temps, c'était bien d'essayer.

L'ego calibré pour le PSG
Clément Chantôme (psg.fr) : "D'un point de vue plus personnel, mon premier match en L1, en tant que titulaire, s’est bien passé! J’ai réalisé une bonne prestation".

Le communiqué passionnel
Jean-Michel Aulas (olweb.fr) : "Ces derniers temps, j’ai pu me rendre compte que la popularité de l’OL grandit. Les gens m’ont dit partout qu’ils souhaitaient la victoire de l’OL. C’est donc une satisfaction liée au développement de l’image de l’OL et de la passion qui règne autour du club".



Guy Roux, la foire au beauf

roux_130b.jpgCela n'a rien de nouveau, mais la façon dont le légendaire bon sens paysan de Guy Roux révèle ponctuellement son idéologie beaufiste garde un caractère fascinant. Lors de la retransmission de Lyon-Saint-Étienne, le consultant vedette de Canal+ s'est ainsi livré à un petit festival qui confirme que l'héritage de Thierry Roland n'est pas resté à l'abandon.

D'abord avec un joli doublé "sud-américain" : "Bilos, avec les cheveux longs comme tout bon Argentin qui joue au football". Puis, plus tard: "Ilan, en bon Brésilien, réclame un penalty". Par chance, Guarin (un "bon" Colombien) a échappé à la sanction. Son commentaire sur la blessure de Grégory Coupet (qu'il s'est infligée à la suite d'un accident domestique) a parachevé le tableau: "Que ça serve de leçon pour les femmes de gardiens de but de toute la France: interdiction aux gardiens de but de participer aux tâches ménagères!"
Le tout, faut-il le préciser, sur un ton ne laissant aucun doute quant au sérieux de l'auteur.



Une suite au Hilton

Il y a quelques semaines, nous avions décrété unilatéralement l'imbécillité de la campagne visant à "nettoyer" les surfaces des nombreuses fautes – accrochages, pour l'essentiel – qui les polluent (voir Du tirage dans la consigne). Il était écrit que cette politique, que les arbitres n'ont absolument pas les moyens d'appliquer sereinement et avec justice, devait se retourner contre ceux-ci. Après une brochette de défenseurs sanctionnés, c'est donc sans surprise que l'on a vu un défenseur retourner littéralement la situation à son avantage, en simulant une faute de l'attaquant.
Alors que le football international inventait pour notre plus grand plaisir des gestes tels que "la Panenka", "la Madjer" ou "l’Arconada", le championnat de France, lui, n’enfante que des monstres. Si feu "la Bakayoko" apportait une note de fraîcheur indéniable pour les amateurs de comique de répétition, "la Fiorèse" et "la Ravanelli" avaient déjà plongé la L1 dans les profondeurs de la création artistique la plus nauséabonde. Dimanche soir, la présence d’un trio arbitral, d’une armée de caméras, et la terrible menace du CNE, n’ont pas dissuadé Hilton d’apporter sa pierre à un édifice peu glorieux.

hilton_cana.jpg
Le ralenti est formel : il y avait bien chat-bite.
Un numéro complet
Reconnaissons que son geste est à enseigner dans tous les centres de formation à la sécurité routière: très prudent, Hilton s’est paré de tout impact en se saisissant du bras de Cana comme d’une ceinture de sécurité, avant même que le corner ne soit tiré, s’auto-ceignant ainsi avant de s’écrouler d’un plongeon qui aurait provoqué des hourras d’admiration si Cristiano Ronaldo s’était trouvé dans les tribunes de Bollaert. Attention, si le ballon est trop loin, ne pas oublier de lever le bras libre pour signaler l’horrible forfait dont on est prétendument victime.
On s’interroge sur les desseins de la LFP : sortira t-elle Dominique Rocheteau et son CNE de la naphtaline? Innovera t-elle en testant véritablement le multi arbitrage dont la nécessité se fait chaque jour plus criante? En l’état, une nouvelle polémique stérile autour de "la vidéo" aura occupé les différents talk-shows spécialisés (sans jamais commencer par établir préalablement de quelle vidéo il est question).

Conclusion : tant qu'on ne sanctionnera pas, rétrospectivement et sévèrement, les auteurs de telles tricheries, et tant que l'on ne mettra pas plus d'arbitres sur la pelouse, il faut se résoudre à cette évidence: on ne pourra jamais lutter contre, juste faire semblant en amusant la galerie et en tapant sur les arbitres.



Exclusif : le Classement "football équitable"
de la Ligue 1 Max Havelaar

1 - Marseille 20
2 - Nancy 16
3 - Toulouse 15
4 - Bordeaux 15
5 - Lille 14
6 - Lens 14
7 - Saint-Étienne 14
8 - Le Mans 13
9 - Sochaux 12
10 - Auxerre 12
11 - PSG 11
12 - Valenciennes 11
13 - Lorient 10
14 - Rennes 9
15 - Troyes 7
16 - Nice 7
17 - Monaco 7
18 - Sedan 7
19 - Nantes 6



Le journalisme sportif militant

Jean-Charles Sabattier, interviewant Alain Cayzac sur Canal+ avant le match PSG-Sedan, a déclaré: "On a le sentiment que c'est une saison qui démarre enfin pour le PSG, que toutes les épines que vous aviez dans le pied sont enlevées et qu'enfin vous allez pouvoir travailler".

sabattier_cayzac.jpgNous estimons que cette "question", formulée dans une langue un peu molle, ne rend pas suffisamment justice à l'ordre moral que le club parisien a réussi à rétablir. Aussi l'avons-nous reformulée afin de lui donner tout l'impact qu'elle mérite:
"Votre honneur, en tant que maître à bord après Dieu, la brillante éviction de Vikash Dhorasoo – cet infâme Rouge prêt à toutes les bassesses pour contaminer votre entreprise et noyauter votre autorité – n'a-t-elle pas dispersé les vapeurs déliquescentes que ce vil fauteur de troubles, cette écharde purulente au pied de votre auguste personne, a vainement essayé de faire planer sur les destinées de votre club en entravant votre liberté de disposer de vos salariés comme bon vous semble?"



Et en plus, les jeunes poussent…

Parions, comme dit Buffon : l’OL va être champion pour la sixième année de suite. Et c’est finalement assez légitime au regard de la stabilité de ses dirigeants, et de son effectif, mais aussi d’une politique de recrutement construite, un peu l’inverse de l’ASM. On a assez souligné le fait que l’OL avait désormais quasiment deux équipes types de niveau proche (plus l’équipe Gambardella pour la Coupe de la Ligue), pour relever une autre de ses singularités: il reste de la place pour les jeunes issus de la formation locale. Le club lyonnais ne se borne pas, en effet, à doubler les postes en enrôlant dix joueurs aléatoires à l’intersaison, en espérant qu’un bon tiers soit au niveau. Il cible les profils recherchés et pioche un Toulalan (quelqu’un a remarqué qu’il manquait à Nantes?), un Squillaci (quelqu’un a remarqué qu’il manquait à Monaco?) ou un Källström (quelqu’un a remarqué?).

Rémy sans démériter
Or, fort d’un groupe pléthorique en qualité et en quantité d’internationaux, l’OL n’oublie pas de faire éclore, à petite dose mais en grande lumière, les plus émérites produits du centre de formation. Le dernier en date se nomme Loïc Rémy. À dix-neuf ans, il vient tout juste de signer son premier contrat pro. Samedi, il a fait son apparition en L1, et pas pour n’importe quel match : pour le derby Lyon-ASSE à Gerland. Looké mi-Luccin mi-Piquionne, le garçon est entré sans trouille dans le bain bouillonnant de ce match, et fut de ces belles quinze dernières minutes, sans déparer.
On reprocha souvent à de grands clubs français, champions en titre et en conquête européenne, de délaisser la formation et les jeunes du cru pour recruter des rebuts des championnats voisins ou piller les viviers auxerrois et nantais. L’OL n’encourt pas ce grief, bien qu’Aulas, il y a quelques années, envisagea de délocaliser son centre de formation (1) et qu’un écrémage drastique y généra des cohortes de revanchards. Au faite de sa supériorité nationale, Lyon a "sorti" Berthod, Ben Arfa, Benzema, Clerc (via Toulouse) – tous aujourd’hui entre Bleuets et Bleus, mais dont le temps de jeu à court terme n’est pas garanti. Et voici donc le petit dernier, Loïc Rémy. En attendant peut-être, plus tard dans la saison, Grégory Bettiol, Sylvain Idangar ou Romain Beynié.

Cette politique lyonnaise a quelque chose de rassurant, qui tient aux promesses de pérennité qu’annonce cette instillation de sang neuf dans le premier club français. L’on peut donc dominer la L1 de la tête, des épaules et de l’abdomen, et donner leur chance aux jeunes qui formeront, après-demain, l’ossature des renouvellements? Loïc Rémy est entré dans ce cycle. Et ce n’était même pas pour chambrer Saint-Etienne.

(1) Voir Formation, le modèle français en danger.


La déclaration du mois

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Georges Eo (L'Équipe) : "On a absolument besoin de notre colonne vertébrale".



Le QCM Cahiers du foot / Jour de foot

En partenariat avec Jour de Foot, nous vous proposons notre premier questionnaire relatif au "Focus", la nouvelle rubrique de Jour de foot. Si Alexandre Ruiz vous demande si souvent de bien écouter, ce n’est pas pour rien. Relevé des copies dans dix minutes.

Extrait :
"On a vu un homme important, c’est le Nigérian John Utaka qu’on a vu venir s’asseoir sur le banc après un match exceptionnel avec un large sourire, ilk a marqué ses deux premiers buts ce soir c’est l’occasion pour nous et bien de faire le focus de cette neuvième journée, John Utaka, l’international nigérian, et bien écoutez bien, qui a vécu une semaine in-cro-yable, puisque samedi dernier, le Nigeria jouait au Lesotho en qualificatif de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, et bien John Utaka, n’a pas pu rejoindre sa sélection, écoutez bien, il avait un problème de visa. Il voyage tellement John Utaka, qu’il n’y avait plus de place libre sur son visa, toutes les pages étaient tamponnées, et bien ses malheurs ne se sont pas arrêtés là, puisque qu’est-ce qu’il a fait John Utaka? Il a appelé son ambassade à Paris, et bien la machine pour reproduire de nouveaux visas était en panne. Du coup, John Utaka n’a pu rejoindre sa sélection. Ça c’était important à souligner. Voilà pour le focus de cette neuvième journée."

1. À qui ce focus était-il consacré ? (quelques indices sont disséminés dans l’extrait)
A - Je ne sais pas, je n’ai rien écouté parce que je suis un rebelle.
B - Aux responsables de la gestion des visas dans les ambassades étrangères, vivant en France, abonnés à Canal et supporters de Sedan.
C - À John Utaka, mais je ne suis pas sûr, j’aimerais bien réécouter l’extrait.
D - Aux malades du syndrome de Balbire.

2. Que manque t-il à ce "Focus" ?
A - Une information intéressante.
B - Des points, des virgules, et des points-virgules.
C - Une heure vingt de développement pour devenir encore plus pénible que Thalassa.
D - Du sexe.

3. Selon vous, qui a dégotté l'info ?
A - Paul Moreira.
B - Guy Birenbaum.
C - Jean-Charles Sabatier, qui était allé pissé à côté du chauffeur de bus du Stade Rennais, ravi d'avoir une histoire à raconter.
D - L'Équipe.



L’envers du championnat > 9e journée
Les supporters Nantais auront vite pardonné l’écart de conduite incompréhensible de leurs protégés face à l’OM, lors de la 7e journée. La ferveur de la Beaujoire samedi soir était sans précédent depuis cinq bonnes années – pourtant combien riches en bons résultats. Mais cette année, c’est différent: on sent les jeunes Nantais capables d’aller enfin au bout. Enchaînant deux résultats consécutifs absolument imparables, ils s’emparent d’ores et déjà de la tête du classement avec une autorité certaine.

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Un impressionnant quatuor est lancé à leurs trousses, emmené par un brillant Sedan, qui a été capable de ramener un résultat du Parc des Princes, ce que peu d’équipes parviendront à faire cette saison. Sur la même ligne, si les Niçois sont encore en bonne posture, ils ne cessent d’inquiéter. Leur baisse de rendement, perceptible depuis plusieurs semaines, aura fini par leur faire perdre la pole, et même une place sur le podium.
On n’est guère plus optimistes pour les Rennais, eux aussi décrochés alors qu’ils dominaient les débats jusqu’alors. Comme quoi, ils ont bien raison les footballeurs: tout va très vite en football.

Mais tous les regards sont d’ores et déjà tournés vers la 11e journée et le choc Nantes-Monaco, qui sera l’un des premiers grands tournants de la saison, tout particulièrement pour les hommes de Bölöni qui tâcheront d’aborder le "Clasico" en bonne position.  Ils ne devront pas, auparavant, concéder trop de points lors d’une 10e journée ne présentant aucune affiche particulièrement alléchante. Une véritable journée de transition…

Réactions

  • 5ylV@iN le 23/10/2006 à 13h54
    Etonnant le journalisme sportif militant

    Quelqu'un sait ce qu'a répondu Cayzac ?

La revue des Cahiers du football