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La Gazette > 16e journée

Le problème avec le football français, c'est que le ridicule finit par tuer le football. Ça fait quand même nos choux gras.
> Le Classement en relief
> Les gestes de la journée
> La Bannette
> Les couilles d'Urano
> Le monde de l'infiniment petit
> Cabale contre les dérives
> L'envers du championnat
Auteur : Le Feuilleton de la L1 le 8 Dec 2006

 

Au terme d'une journée marquée par un unique match nul, Lyon (et Sedan) contribuent à un étirement alarmant du Classement en relief. Lens, Lille et Sochaux suivent le mouvement du leader à l'unisson, mais ce sont les Bollaertiens qui prennent la deuxième place à la faveur de leur 3-0 contre Bordeaux.
Les Verts devancent les Nancéens et les Bordelais, victimes de leur surplace. Les marine et blanc voient même leur différence de but devenir négative, au passage. Même immobilisme de la part des Marseillais et des Toulousains, mais ces derniers ont une bonne excuse.

Les Rennais recollent aux Lorientais et Manceaux pour former une sorte de ligne médiane du championnat des non-Lyonnais. Derrière, une grappe d'équipes tâchent de marquer leur distance avec celles qui naviguent dans la zone de relégation, dont les Monégasques s'échappent grâce à leur large victoire sur les Valenciennois...


classement_0607_16.jpg


Les résultats de la journée
Lens-Bordeaux : 3-0
Monaco-Valenciennes : 3-0
Saint-Étienne-Lorient : 2-0
Rennes-Nantes : 2-0
Sochaux-Marseille : 1-0
Auxerre-Nice : 0-0
Nancy-Lille : 1-3
Sedan-Troyes : 1-2
Le Mans-Lyon : 0-1
Paris SG Toulouse : reporté



Les gestes de la journée

> la parade d'une main tout en décontraction de Cédric Carrasso sur la tête en cloche d'Afolabi. Encore plus rigolote au ralenti quand le ballon finit dans la lucarne et Carrasso empalé sur son poteau.
> le réflexe main-pied de Teddy Richert sur le coup franc vicieux et masqué de Nasri.
> la frappe de 25 mètres de Mathieu Bodmer enlevée in extremis de sa lucarne par Sorin.
> le "doublé" de Julien Faubert : erreur de marquage sur le deuxième but lensois et passe décisive pour Cousin sur le troisième.
> le coup franc de Marek Heinz, bien plus beau mais tellement moins médiatique que celui de Ronaldinho contre Brême.
> la sortie de Vladimir Stojkovic sur la tête victorieuse de Melchiot: très tôt après son retour en grâce en équipe première, le gardien nantais semble avoir retrouvé la très grande forme.
> l'ouverture d'Olivier Echouafni au-dessus de sept Auxerrois reprise de volée par Koné sur la barre.
> la frappe enroulée des vingt mètres de Yaya Touré, brillant depuis le départ de Bölöni.
> l'ouverture de Yaya Touré sur le but de Gakpé.
> la passe décisive et l'avant-dernière passe de Yann Lachuer sur les deux buts Troyens à Sedan.
> l'arrêt à bout portant de Simon Pouplin sur une tête puissante de Norbert, à quinze centimètres de lui.



La bannette

La vieille stratégie éculée
Albert Emon (Canal+) : "Le bilan, c'est en fin de saison". Le dernier qui a tenté ça, c'est Luis et il ne l'a jamais vue, la fin de la saison.

Le président qui prend des risques
Jean-Louis Triaud (L’Équipe) : "S’il faut se renforcer, Bordeaux en possède les moyens. À l’entraîneur de dire qui et à quel poste". Jean-Michel Aulas, au poste de président?

Le rêve
Daniel Cousin (L’Équipe) : "Ce serait bien, Lens-Barcelone". Oui, ben en attendant, tu vas te préparer pour affronter Le Mans et Sedan, et après on en reparlera.

La condition sine qua Nantes
George Eo (L’Équipe) : "Tout peut arriver à condition de gagner". Bon, et en vrai, qui va arriver pour te remplacer?

Le directeur clientèle
Patrick Regnault (L’Équipe) : "Quel public? Le seul qu’on a eu c’était à Albeau. Ici, ce sont des branleurs! Qu’ils arrêtent de nous emmerder et qu’ils restent regarder le film à la télé!"

L'excuse en béton pour chambrer l’adversaire
Jean Fernandez (L’Équipe) : "Nous avons disputé neuf matches de coupe d’Europe depuis le début de la saison, neuf de plus que Nice."

L'employé qui ne lit pas les déclarations de ses patrons
Hugo Lloris (L’Équipe) : "On n’a jamais douté. Et vous savez pourquoi ? Parce qu’on s’est réfugiés dans le travail au lieu de pleurer sur notre sort."

La poutre en pleine tête
Emerse Faé (L’Équipe) : "M. Duhamel, il fait l’intéressant, il ne fait que parler sur le terrain. Ce qu’on lui demande, c’est d’arbitrer."



Les couilles d'Urano

Dans l'épisode précédent de la Gazette (/article.php?id=2336#psg), nous avons déjà souligné comment, en pleine période d'indignation contre la violence émanant des tribunes, les acteurs du football continuaient à perpétrer leurs propres agressions – verbales, comme beaucoup de ces incivilités qui obsèdent notre pays – en toute impunité. Il s'agissait du président et de l'entraîneur parisiens, fulminant contre l'arbitre du match Nantes-PSG. Cette fois, c'est l'omnipotent Pascal Urano qui a poussé le bouchon un peu plus loin. En salle de presse, il déclara "Trop c'est trop. Il faut que les arbitres arrêtent de tuer le foot", affirmant ne pas être "sous le coup de la colère". Quelques minutes auparavant, il venait pourtant de descendre sur la pelouse afin de dire son sentiment à M. Grenier, en des termes moins choisis: "Ils sont soit incompétents, soit malhonnêtes. J'ai même l'impression qu'ils sont les deux" (1), invectivant le banc des officiels, puis repoussant brutalement le délégué Jean Guidet. Celui-ci lui reprochant de se conduire "comme un voyou", Urano lui déclara "Si tu as des couilles, viens derrière la tribune, je vais te montrer ce qu'est un voyou".

"Toi, ta gueule!"
Rappelons que la colère présidentielle résultait d'un cartoon rouge direct adressé par Morgan Amalfitano après un tacle pour le moins brutal sur Georges Ba. Rien de scandaleux si l'on garde à l'esprit que les arbitres sont garants de l'intégrité physique des joueurs. Le problème est qu'on leur reproche tout aussi bien leur laxisme que leur sévérité, selon ce qui arrange...
Convoqué devant la Commission de discipline le 14 décembre prochain, et probablement par le Conseil de l'éthique (2), Pascal Urano, a repoussé toute idée de faute de sa part, allant même jusqu'à nier celle de son joueur: "Il ne s'est rien passé avec l'arbitre. On est allé lui expliquer gentiment que déjà quand on joue à onze contre onze, c'est pas facile. Alors quand on a une expulsion alors qu'il n'y a même pas faute, ça devient plus compliqué", a-t-il déclaré sur RMC.

Récemment filmé par Canal+ comme le symbole de la passion du football incarnée par un sympathique et bouillonnant dirigeant, Urano est un récidiviste. On apprend à cette occasion qu'un précédent rapport d'arbitre avait été allègrement enterré par la Ligue. Le dit rapport indiquait pourtant comment, en janvier 2005 à l'occasion d'un déplacement à Guingamp, Urano était encore venu sur le terrain pour faire le coup de poing alors qu'une bagarre éclatait entre quelques joueurs. Un délégué qui avait tenté d'intervenir s'était entendu dire "Toi, ta gueule!" avant de se faire arracher son badge. Les faits étaient restés sans suite.

La Ligue complice
Alors, le ministère de l'Intérieur devra-t-il étendre les interdictions administratives de stade aux dirigeants, qui seront prononcées sur la foi de leurs déclarations passées? Les preuves à charge abondent, et l'efficacité de la mesure serait certainement plus grande que pour les hooligans. Il ne s'agit pas que de protéger les arbitres: en se répandant en propos haineux désignant des boucs émissaires, les dirigeants contribuent à une atmosphère délétère qui rejaillit forcément sur l'environnement du football. Que faudra-t-il pour que leur responsabilité soit reconnue? La Ligue, dont le cul trempe – avec son éternelle bonne conscience – dans l'affaire Pettinato (3), mise en cause pour sa passivité dans la lutte contre le hooliganisme (voir À balles réelles /article.php?id=2333), se montre bien incapable de toute autorité sur ceux qui la dirigent en sous-main. Ce nouvel épisode montre à quel point il est urgent lui retirer toutes les fonctions disciplinaires pour les confier à des instances véritablement indépendantes...


(1) Les propos cités ici ont été rapportés par L'Équipe.
(2) Il vient de condamner Maurice Cohen et Jacques Rousselot, présidents de Nice et Nancy, à un mois ferme de suspension.
(3) Du nom de cet escroc impliqué dans le trafic de téléphones portables dans le milieu des arbitres, et poursuivis pour bien d'autres malversations, qui a très longtemps pu se réclamer de la LFP sans être trop contrariée par celle-ci (voir le dossier de Raphaël Raymond dans L'Équipe du 22 novembre).




Ruiz : le monde de l'infiniment petit

Alexandre Ruiz, présentateur de Jour de foot, est une mine qu'on aura épuisée avant la fin de l'année, mais elle aura été productive: ses troubles obsessionnels compulsifs sont en effet peu nombreux, mais très actifs. On ne trouvera pas meilleur exemple de ce goût pour la répétition que cet usage maladif de l'adjectif "petit", accolé à tout et n'importe quoi.

Au cours de la seule émission de samedi dernier, il l'aura ainsi employé pour dire "petite image" (à six reprises, c'est le record), "petit merlu" (trois fois en moins de treize secondes), mais aussi "petite caméra isolée", "petit symbole", "petite info", ou encore "petit 0-0" et "petites flèches" (1). Il est vrai que Jour de Foot atteint à une insignifiance assez extraordinaire, même pour la télévision, mais ce n'est pas la peine de tout miniaturiser.

(1) Car la séance hebdomadaire de pédagogie infantile du docteur Ruiz a été consacrée à l'explication des "nouvelles" (sic) flèches indiquant, sur le classement de la L1, l'évolution de la position des équipes. Canal+, ou l'avant-garde en action.



Le plan B qui s'écroule

DIVISION 1 FEMMES (10e journée)
Saint-Brieuc (5e) - Lyon (1er) : 0-4



Cabale contre les dérives

Au cours de l’émission Arrêt sur images, consacrée à la violence dans les stades, le journaliste de France 2 Laurent Jaoui a cette phrase étonnante: "[Dans les tribunes du PSG] il y a eu des banderoles avec des 888, qui correspondent à je ne sais plus quel signe cabalistique". La référence cherchée était évidemment le nombre 88, 8 représentant la huitième lettre de l’alphabet H, l’ensemble symbolisant le salut hitlérien "Heil Hitler".
Mais le chiffre 888 a bien été prononcé, et le fait est qu’il se retrouve également dans l’actualité sportive. Plus précisément, il a été évoqué lors du débat autour du site de paris en ligne 888.com, sponsor du TFC interdit de maillot, pour cause de remise en cause du monopole de la Française des jeux. On peut raisonnablement penser qu’un journaliste, qui s’intéresse à tous les sujets du football, a pu piocher ce lapsus dans cette actualité pas si lointaine en réalité. Car, pour défendre ses intérêts, le site 888.com n’a pas hésité à argumenter à coups de "censure", de liberté d’expression et de "zèle" de la part de la Ligue.

Coïncidence ou non, on constate toutefois que deux des pires tragédies de l’histoire, le nazisme et le fascisme, se retrouvent d’une façon ou d’une autre impliquées dans ces deux affaires.



L’envers du championnat
Sedan a fait montre d’une belle autorité en faisant respecter son statut de leader sur ses terres, dans le match au sommet entre les deux ex-leaders du championnat. Ex, parce que si les Troyens semblaient sur la bonne pente ces dernières semaines avec un seul point de pénalité lors des quatre dernières journées –et encore : contre l’OM, ça ne compte pas, tous les "gros" en prennent), les voilà désormais décrochés de la tête. Dire que cette équipe-là s’est rapprochée d’une unité seulement de la première place… Ne craignons pas de le clamer ici, haut et fort : cette équipe n’a a-bso-lu-ment rien à faire dans le haut du classement avec un tel jeu, indigne des sommets !

classement_env16.jpg

L’horripilant Yann Lachuer est l’emblème de cette équipe: il continue de décevoir, indigne de son profil de joueur en fin de carrière venant chercher le bon dernier contrat à côté de la maison, il se montre tel qu’on l’avait craint: égal à lui-même… On savait pourtant que ce joueur n’avait réussi à franchir un palier qu’au sein du PSG de Biétry, sans jamais avoir confirmé un tel niveau de jeu, saison après saison. Une erreur de casting qui pourrait coûter cher aux Aubois : il est une fois encore à l’origine des mauvaises décisions de jeu en phases offensives, se montrant clairement impliqué dans les deux actions fatales aux hommes de Furlan.
 
furlan_joie.jpgJean-Marc Furlan hurle sa rage de passer une nouvelle fois à côté de son sujet lors d'un sommet du championnat.
Malheureusement bien loin de ces grandes joutes enflammées du championnat, le Stade rennais a chuté une fois de plus dans un match référence face aux Nantais. L’échec de trop pour le président Emmanuel Cueff, qui fait logiquement les frais d’une évolution de parcours inquiétante après des débuts pourtant prometteurs. L’avisée famille Pinault a fort judicieusement su mettre fin à ses errements avant qu’il ne soit trop tard, en débarquant cette brebis galeuse qui n’a jamais vraiment su tenir la barre d’un club aux traditions pourtant ancrées dans son ADN.
Autre décision ô combien pertinente: la nomination de Monsieur Frédéric Marie Joseph Bruno de Laparre de Saint-Sernin (dit Frédéric de Saint-Sernin) pour le remplacer. Difficile en effet de trouver meilleur candidat pour redonner toute son ambition au Stade Rennais. Ses envolées lyriques et visionnaires, cet été sur le plateau de N’ayons pas peur du Foot nous avaient fait découvrir un vrai connaisseur du football, nous avons hâte de le voir désormais à l’œuvre. Incontestablement the right man at the right place. Tous nos vœux de réussite en tout cas, et à très bientôt, nous l’espérons, dans la lutte en haut du classement!

Réactions

  • braz_pitt le 08/12/2006 à 12h40
    Attention!!!!

    le site 888 n a strictement rien a voire avec quelque secte ou organisme neo fasciste.

    888 est une société monté par un gars d origine Chinoise. En Chine le 8 est un chiffre porte bonheur. donc 888, c est censé porté chance aux joueurs en ligne.

    Sinon j ai bien apprécié l article sur Urano, et je pense que l auteur aurait pu citer également quelques autres présidents de club pour leur manque de respect envers les arbitres.

    il est pas la le classement à l envers? encore au bistrot celui la...

  • braz_pitt le 08/12/2006 à 12h44
    PS: entièrement d accord avec les reactions de garavou et José Mickael.

  • Antwan le 08/12/2006 à 14h19
    PS : Jolie contrepèterie de niveau 4

  • Wintzen' le 08/12/2006 à 16h57
    Juste pour dire que l'arrêt tellement magnifique de Pouplin sur "une tête à 15 cm de Norbert" est dû au fait que ce brave Pouplin nous avait fait exactement la même sortie aérienne que Stojkovic, pour laquelle la catastrophe nantaise (pire que Landreau, fallait le faire...) s'attire à juste titre les moqueries de la rédac.
    Sauf que Pouplin a la chance que le ballon lui arrive dessus...

  • suppdebastille le 08/12/2006 à 18h03
    A propos du diaporama, quelqu'un peut m'expliquer le "Après, il ne faut pas s'étonner que la France vote non à la constitution européenne." ??

    MErci

  • arnaldo01 le 08/12/2006 à 18h24
    je n'ai pas vu l'emmission mais je suppose que ca devait etre le bordel sur le plateau.

  • suppdebastille le 08/12/2006 à 18h39
    Ben,justement ça rend l'Europe sympathique

  • Pinault Power le 08/12/2006 à 19h15
    @ Wintzen' - vendredi 8 décembre 2006 - 16h57

    -----------------------------------

    Sauf que Pouplin met les mains devant lui alors que Stokovitch, il regarde Melchiot mettre sa tete... je pense qu'objectivement, c'est different !

    Voili...

  • Tapas Tef y Graf le 08/12/2006 à 22h41
    braz_pitt - vendredi 8 décembre 2006 - 12h40
    -------------
    Tout a fait, le site 888.com n'a rien a voir avec la reference au 88 de certains extremistes nostalgiques.

    L'article des CDFs souligne (a juste titre a mon avis) que le journaliste a du melanger dans sa tete les 2 affaires.
    Mais ensuite j'avoue ne pas comprendre la derniere phrase:
    "deux des pires tragédies de l’histoire, le nazisme et le fascisme, se retrouvent d’une façon ou d’une autre impliquées dans ces deux affaires"
    Ou alors les CDFs se sont eux-memes embrouillamines la cafetiere, non? Car je ne vois pas du tout ce que le fascisme et le nazisme viennent faire dans l'histoire du sponsor du Tef?

  • Marquet Moon le 08/12/2006 à 23h16
    88 pour le nazisme (coucou à Gianluigi), et 888 pour le fait que Sadran assimile le fait de l'empêcher d'afficher son sponsor à une mesure fasciste parce que limitant la liberté d'expression, ou un truc dans le genre, non?
    Sinon, super le débat sur les profs dans les réactions à la gazette. Et pas caricatural, en plus. Ca fait du bien un débat argumenté ou on ne balance pas une fausse vérité partiale en sachant que personne ne pourra répondre sérieusement. Une vraie régénération du débat politique.

La revue des Cahiers du football