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La Gazette > 31e journée

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 2 Avr 2008

 

Les résultats de la journée

Bordeaux-Nancy : 2-1
Sochaux-Nice : 1-0
Le Mans-Caen : 1-1
Valenciennes-Lyon : 1-2
Lorient-Marseille : 1-2
Monaco-Rennes : 1-2
Lille-Auxerre : 0-2
Metz-Toulouse : 0-2
Paris-Strasbourg : reporté au 02/04
Saint-Étienne-Lens : reporté au 09/04



Les 5 gestes de la journée

• Le dribble derrière sa jambe d’appui enchaîné avec une ouverture piquée permettant à Matsui d’effacer six Caennais pour offrir l’égalisation à Basa.
• Le sombrero de Pitau qui élimine Kanté et Echouafni dans la surface avant d’expédier sa volée dans les filets de Lloris.
• Le tacle glissé de Cris "Tian Lopez" Marques Gomes, bien parti pour suppléer Monsieur Propre dans le cœur des ménagères lyonnaises.
• Le centre téléguidé de Kader Keita qui parvient à trouver Govou au terme d’un beau mouvement collectif.
• Le contrôle orienté de Bonnart qui lui donne le temps d’ajuster son centre parfait pour Niang.



Les 3 antigestes de la journée

• La Hilton de Micoud, sous les applaudissements de Teddy Riner.
• Le rasoir du Mans: la première lame, Calvé, dévie des fesses à hauteur du point de penalty, avant que la deuxième lame, Basa, dégage sur Gouffran. C’est finalement Pelé qui est rasé gratis.
• La pleine poire de Zerka qui expédie la balle dans les filets de Ramé à l’insu de son plein gré.


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- Dites-moi, André Rougeaud...
- Rousselot.
- Pardon. Rousselet. Vous êtes donc le Président de Bercy...
- Nancy.
- Sûr ? Ah bon... Alors comme ça vous êtes septièmes?
- Troisièmes.
- Ah oui quand même. Et ça vous fait quoi, toute cette célébrité soudaine?




La bannette


Le stade du miroir
Vincent Duluc (L'Equipe)  : "Exclu par l’intervention d’un quatrième arbitre zélé et démonstratif, Kombouaré n’est pas venu en parler, à la fin du match. Cela lui aura évité de se fâcher un peu plus avec une corporation corporatiste qui fait payer plusieurs fois leurs fautes à ceux qu’elle a déjà fait sortir de leurs gonds".

La prise d’otage qui va durer jusqu’en mai
Francis Gillot (L'Equipe)  : "On retiendra donc les trois points".

Le président qui ne pourra jamais diriger le PSG
Jean-Michel Aulas (France 2 Foot) : "Si nous devions être champions une septième fois d’affilée, ce serait assurément le plus beau parce que c’est extrêmement difficile et terriblement angoissant de lutter une septième fois pour un titre".

La narcolepsie
Achille Emana (L'Equipe)  : "On a toujours tendance à s’endormir après une victoire". Sans compter les spectateurs qui ne tiennent pas jusqu'au résultat final.

Le championnat à l'envers sous cocaïne
Stéphane Grichting (sport24.com) : "Des matches encore très difficiles nous attendent, à commencer par notre prochain défi face à Sochaux qui reste sur une exceptionnelle dynamique".

Le Alain Chamfort de la L1
Francis Gillot (L'Equipe)  : "On n’a pas réussi à mettre du rythme".

Le Georges Clinton de la L1
Alain Perrin (L'Equipe)  : "Je crois que nous sommes dans le bon rythme actuellement".

Le plan Alzheimer
Francis Gillot (sport24.com) : "Dans un mois et demi, on se souviendra de la victoire et pas de la manière". Euh, même pas

La Française des vieux
Francis Gillot (L'Equipe)  : "Même si ça sent un peu moins mauvais, les paris restent ouverts".

Le partenaire idéal
Abdeslam Ouaddou (Canal+) : "Comme toujours contre Lyon, on a eu l’impression de bien jouer". Ryan Giggs : "C'est vrai".

Le roquefort qui dit "tu pues" au camembert
Dominique Grimaud (M6): "[Les arbitres assistants] sont comme il y a vingt ans, ils ont des vieux réflexes. Ils sont encore juges de touche. Ils n'ont pas du tout évolué".

L'OL Zeppelin
Cris (L'Equipe)  : "Le titre s’approche. Mais il faut continuer de monter l’escalier".

L'information officielle non vérifiée
Alain Vernon (France 2 Foot) : "Lyon se dirige vers un septième titre de champion consécutif. Un record français et européen".

Le scoop de la décennie
Rolland Courbis (France 2 Foot) : "Je te dis franchement: si je suis à la place de Micoud, je fais pareil, donc je suis un tricheur".

Le top prédictions qu'on vérifiera en septembre prochain
• Jean-Michel Aulas (France 2 Foot) : "C’est un scoop, c’est une forme de, je dirais de challenge que nous lançons à France 2: l’année prochaine, nous allons nous orienter vers une stratégie un peu différente qui va viser plus en priorité l’Europe que le championnat de France. Et on va essayer de configurer une équipe un peu comme l’a fait Arsenal l’année dernière, brillante, jeune, ambitieuse,  ayant la capacité à gagner un jour, et prochainement, la Champion’s League".
• Jean-Michel Aulas (France 2 Foot) : "Si Alain Perrin réussit dans ses objectifs, pourquoi voudriez-vous que l’on change?"
• Alain Vernon (France 2 Foot) : "Avec, selon nos informations, sans doute Rémy Garde, l’ancien joueur comme entraîneur, Lyon veut désormais garder les joyaux de sa formation".


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"Non non, tout va bien... Les dirigeants ont confiance en moi. Les joueurs me respectent. Les supporteurs m'adorent. Je ne vais pas du tout être remplacé par Rémi Garde. Tout va bien".


La minute responsable de Johan Micoud (1)

"Non ben y a l’arbitre qui voit une faute, il siffle, voilà. Maintenant c’est vrai que c’est à chaque fois une équipe qui est contente, l’autre qui est un peu triste mais c’est le football" (France 2 Foot)


La minute responsable de Johan Micoud (2)

"Je n’ai pas envie de polémiquer. J’ai passé l’âge. L’arbitre a sifflé. Basta! Je passe à autre chose. Cette histoire ne me concerne plus" (L’Équipe du 31 mars).



Trois minutes fraîches

La séquence est diffusée durant l'avant-match de Lorient-Marseille. Raynald Denoueix et Christian Gourcuff sont dans un bureau. Les polémiques sur les banderoles et sur l’arbitrage tombent à l’eau. On y parle football, conception du jeu, et, comme par enchantement, les propos pertinents fusent. "Comme le jeu est dynamique, ça veut dire qu’on s’interdit de marcher. On doit pratiquement s’interdire de marcher" insiste Gourcuff. "Interdit d’être arrêté, interdit de donner arrêté, interdit d’arrêter le ballon. Rien qu’avec ça, tu fais des jeux des exercices, et ça change tout", précise Denoueix.
Gourcuff : "En fonction du positionnement du ballon, chacun doit connaître sa position".
Denoueix : "C’est dur hein! T’as des joueurs, pour eux c’est l’inverse: le repère c’est l’adversaire".

Dans un football où l'on déplace des "blocs bien organisés" sur un échiquier de marbre, on entend des mots rares: "En situation offensive, le bloc se déforme et il y a des relations plus riches. On ne recherche pas les duels. Le contact avec l’adversaire est pratiquement proscrit. Jamais je ne ferais une séance de tacles. Plutôt le quadrillage, rester debout, les couvertures" (Gourcuff).
Le jour où Canal se décidera à remplacer la demi-heure hebdomadaire de polémiques arbitrales stériles par une demi-heure de ce tonneau, nous n’aurons pas de plus vive impatience dans la semaine que de regarder les Spécialistes.



micoud_itw.jpgSi Johan Micoud était mon fils

Décryptage de l’interview du meneur de jeu bordelais accordé à L'Équipe ce mardi…

• "Quand je les ai entendus, j’ai failli rentrer dans mon poste. Personne, à la télévision, à la radio ou dans la presse écrite, n’a analysé l’action dans son contenu. On ne l’a jugée que dans un sens. C’est exagéré et ça me rend fou".

Tout d’abord, fils, sache que rentrer dans ton poste n’est pas vraiment possible dans la vraie vie. En la circonstance, admets que ce sont plutôt les Nancéens qui ont matière à perdre la raison, et ne laisse jamais ton cœur de jeune Jedi envahir par l’esprit d’Olivier Rouyer..

"Au moment où le corner est tiré, je sens ses bras m’entourer à nouveau. Et, à ce moment-là, j’attrape son bras et nous tombons au sol. À aucun moment, je ne prémédite mon geste pour obtenir un penalty. Et à aucun moment, je ne vais voir l’arbitre pour l’influencer".

Tu sais, ce n’est pas parce que Zidane n’était pas rentré sur la pelouse pour aligner Materazzi qu’il n’était pas coupable d’une agression répréhensible. Et puis même si tu ne t'es pas relevé pour aller vers l'arbitre, personne ne croira que tu as levé la main parce que tu venais d’apercevoir maman dans la tribune opposée.

"Ça me gêne vraiment de me faire démonter de la sorte. À cause de tous ces raccourcis, je me fais tuer. Ça me rend même fou qu’on puisse me coller cette étiquette de tricheur à trente-cinq ans. Ce n’est pas à mon âge qu’on va me juger".

Quand tu seras grand, je te parlerais de Fabrizio & Fabrice pour que tu comprennes ce que c’est que de se faire tuer à coups de raccourcis. Sache aussi qu'aucun âge n'offre l'impunité. Et si tu avais agi comme un grand garçon, je ne serais pas là en train de te sermonner.



gazette31_micro.jpgL’école du micro absent

Lorsque nous l'avions interrogé en début de saison, à propos de notre regret concernant le manque de contradiction de la part des intervieweurs de sa chaîne, Cyril Linette avait répondu: "Personne n’empêche le journaliste de poser les questions qu’il veut. Personne!" (Lire son interview). Le débat portait alors sur une intervention de Jean-Michel Aulas. Le responsable football de Canal avait précisé: "Je pense qu’il faut lui couper la parole" et ajouté, admettant qu’il n’était pas toujours possible de le faire sur le moment, qu'il convenait aussi de "décoder une interview pour montrer que nous ne sommes pas complètement dupes".

L’interview de José Anigo à la mi-temps de Lorient-OM était l’occasion de vérifier si ce souhait s'était concrétisé. Car José a fait un festival. En criant à l’injustice sur un penalty qui aurait difficilement pu être moins discutable. En ajoutant un "Ça peut plus durer", en reprenant la litanie des entraîneurs, joueurs, et dirigeants qui eux "sont sanctionnés quand ils commettent des erreurs." On a attendu la réaction de l’homme de terrain, en vain. Micro ouvert, fermé, merci et au revoir. Bonne deuxième mi-temps. Et tant pis si les trois commentateurs en cabine trouvaient (pour une fois) le penalty justifié. Tant pis si Anigo, lui, avait vu ses résultats d’entraîneurs sanctionnés par une promotion. Tant pis si les arbitres sont notés après chaque rencontre ce qui n'est pas le cas des entraîneurs ni des directeurs sportifs. Tant pis si une telle déclaration, en Angleterre où les arbitres sont si bons, lui aurait valu une sérieuse amende.
Cyril Linette nous avait dit "Nous avons beaucoup de commentateurs, pas beaucoup de journalistes. Il faut travailler cet aspect-là". La tâche semble intacte.


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En toute discrétion, Alex Ruiz signifie qu'il postule cette année à une Spirale des Cahiers, probablement dans la catégorie "meilleur petite image de la saison".


Fallait-il jeter l'entraîneur?

Cette saison, notre conviction que les changements d’entraîneur ne servent à rien a été mise à mal. Quatre clubs se sont séparés de leur technicien, pour des résultats plutôt… positifs. Si le cadavre messin s’est contenté d'un spasme, le redressement de l’OM a été spectaculaire. On rendra à Emon ce qui lui appartient: les bonnes performances de l’équipe sont dans la droite lignée des résultats qu’il avait obtenus en fin de saison dernière. L’OM a toujours les mêmes défauts et les mêmes qualités.
À Sochaux, Francis Gillot semble en passe de réussir un défi qu’on croyait impossible: maintenir le club en L1. Pendant ce temps, ceux qui ont fait le choix de la continuité ne sont pas récompensés: Paris, Toulouse et Lens (qui pâtit toutefois encore du bêta-blocage de Guy Roux) pataugent toujours.

Le redressement le plus spectaculaire restera cependant celui opéré par Guy Lacombe. Le Stade rennais, dix-septième il y a six journées a opéré une remontée digne des plus belles ascensions de l’Alpe d’Huez par Pantani. Certes, l’ascension s’est faite à la faveur d’un classement ultra-compact. La comparaison avec la dégringolade monégasque donne cependant le vertige.

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0,2% Foot

Une banderole et des polémiques arbitrales à foison, c’était trop pour l’équipe de 100% Foot, qui a fondu les plombs un dimanche soir de mars. Morceaux choisis

Mais pourquoi n’y avait-on pas pensé avant?
Dominique Grimaud : "Là pour le coup, si Nancy allait jusqu’au bout, ce match pourrait, et devrait même je dirais, être rejoué".


L’équivalence dans les problématiques
DG : "Mais y’aura jamais la vidéo ! Faut arrêter !
Pierre Ménès : (indiquant du doigt sa broche indiquant son soutien au Sidaction) : On porte tous ça, on sait qu’il y aura pas un vaccin contre le sida de notre vivant, on peut continuer à espérer quand même!


Et pourquoi pas leur faire récurer ta salle de bains?
Karim Nedjari : Autre question : Pourquoi M. Duhamel n’a pas arrêté le match?
Jérôme de Verdière : Alors, on va revenir sur l’arbitrage, mais d’abord, mais d’abord on va regarder…
DG : Tu as un arbitre, deux juges assistants, un quatrième arbitre, quatre où cinq délégués pour une finale, et t’en as pas un qui se manifeste.
PM : Le quatrième arbitre il est juste là pour emmerder les deux entraîneurs.
DG : Oui mais y en a pas un qui se manifeste. Tu as raison! L’arbitre doit arrêter le match.
PM : Moi j’veux bien. Dieu sait que j’ai pas envie de dire du bien de M. Duhamel, mais si on admet que le président Thiriez n’a pas vu la banderole depuis la tribune d’honneur, on peut considérer que l’arbitre a quand même autre chose à foutre!
DG : Heureusement qu’il y a le Président de la République, pour stopper la chose!


L’argumentation aléatoire de Dominique Grimaud
JdV : Parlons de ce penalty justement, cette faute…imaginaire, faut bien…
DG : Non non tu peux pas dire ça non. C’est pas une faute imaginaire. Non non, y a certainement une faute. C’est dans l’esprit que Duhamel déconne. Dans l’esprit il ne peut pas siffler ce penalty. Il reste quelques sec…
PM : Bah si y a faute, c’est pas dans l’esprit…
DG : Alors s’il y a faute, il doit filer un carton rouge à Hilton! Ça c’est dans tous les règlements! Il est le dernier défenseur Hilton, s’il y a faute, s’il siffle penalty, Duhamel doit sortir le rouge et non pas le jaune!
PM : Y a faute ou y a pas faute ?
DG : Mais non, mais dans l’esprit… Je te réponds. Il faut qu’il y ait faute à 150% pour que Duhamel à quelques secondes de la fin siffle un penalty."



Les observations en vrac

• Vive inquiétude quant au sort de Sammy Traoré: présenté comme si de rien n’était aux côtés de l’envoyé spécial de Canal pour répondre en direct aux traditionnelles questions de Jour de Foot, il disparaît mystérieusement pendant le résumé au profit d’une interview enregistrée que n’auraient pas reniée les autorités chinoises. Personne ne se souvient que c’est comme ça qu’on est resté sans nouvelles de Jack Bauer pendant deux ans ou quoi?
• Après plusieurs semaines d’apathie, Antoine Kombouaré retrouve la santé: il gravit de nouveau les tribunes de Nungesser pour prendre un peu de hauteur.
• Il faudrait calculer le nombre de points que rapportent les interventions de Cris sur l’ensemble d’une saison.
• Le chiffre de la journée: 4%. C’est ce qu’il reste comme temps pour parler de football aux Spécialistes de Canal+ après les élucubrations relatives à une banderole et à l’arbitrage.
• Quand il enlève sa casquette, Élie Baup ressemble à s’y méprendre à Caliméro.

Réactions

  • funkoverload le 02/04/2008 à 16h26
    C'est curieux D. Gullit, tout le monde sais que Ménes en a une toute petite
    (cervelle).

  • osvaldopiazzolla le 02/04/2008 à 19h08
    Comparer Cris à Christian Lopez ! vous venez de vous faire autant d'ennemis à Sainté qu'à Lyon !

  • christelou le 02/04/2008 à 20h30
    M'Dame la Rédac, vous avez oublié "un antigeste de la journée" : Puygrenier qui s'essuie volontairement les crampons sur les mollets d'un girondin à terre. Pas étonnée que les autres medias ne relèvent pas ce geste gratuit, méchant et dangereux. Mais vous...

    Mon idéalisme en prend encore un sale coup. J'pense que je vais supporter le judo :-)

    Et quid des explcations concernant les exclus de notre fil chéri ?

  • balashov22 le 05/04/2008 à 00h26
    Marrant comme cette tendance à relever tous les petits détails qui ne vont pas me fait penser à la contestation systématique de toutes les erreurs d'arbitrage.
    Mais c'est sûrement moi qui ai l'esprit tordu.

    Bonne gazette, pas la meilleure mais j'ai vu pire.

La revue des Cahiers du football