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Les prix NBA de la Ligue 1 : le vote

La conception américaine des trophées de fin de saison est différente de celle dont on a l'habitude ici. On est allé voir du côté du basket-ball et de la NBA, populaire en ces lieux et pour qui c'est la période, et décliné ses distinctions à la Ligue 1. Mesloub, Payet, Lemar et les autres attendent désormais vos votes.

Auteur : La rédaction le 28 Avr 2015

 

 

Outre-Atlantique, les play-off NBA ont commencé, et avec eux la remise des prix annuels. Lou Williams, arrière des Raptors de Toronto, a été élu sixième homme de l’année. Kawhi Leonard, des San Antonio Spurs, a lui été sacré joueur défensif de l’année. Le reste des vainqueurs n’a pas encore été révélé. Les pro-Stephen Curry et les pro-James Harden, favoris pour le titre de MVP (“Most Valuable Player”), s’écharpent toujours dans la défense de leur poulain.

 

Appliquer les récompenses NBA au football peut paraître curieux mais leur spécificité offre un autre regard sur le ballon rond. Les Américains remettent par exemple le prix du meilleur défenseur de l’année et celui du “Most Improved Player”, le joueur qui a le plus progressé d’une saison à l’autre, une façon de promouvoir des joueurs qui ont changé de statut sans forcément devenir des stars. On déplore souvent l’absence de footballeurs défensifs dans le classement du Ballon d’Or. La NBA a ses contre-mesures pour éviter de snober ceux qui brillent sans le cuir. En empruntant ses prix, on s’est dit qu’on pourrait montrer la Ligue 1 sous un nouvel angle. Tout en ayant conscience, bien entendu, des biais qu'implique l'attribution de récompenses individuelles dans un sport collectif (celles-ci étant d'ailleurs pour se faire plaisir et mettre les joueurs qui nous ont marqué en valeur – on ne va pas en faire un fil rouge pendant deux mois). 

 

Remarque dictatoriale: le vote, qui se terminera dimanche 3 mai à 23h59 heure de Vesoul, sera pondéré par un jury interne à la rédaction des Cahiers du football (oui, il y a une rédaction des Cahiers du football). Après le vote des deux corps électoraux, chaque joueur recevra de cinq à un point en fonction de ce classement. Les points seront additionnés, et en cas d'égalité, celui qui aura reçu le plus de votes du public primera. Cette méthode évitera au passage que les lobbys de supporters influent trop sur le vote. Merci de votre compréhension. Vous pouvez évidemment nous insulter en commentaire si nos choix ne vous conviennent pas. 

 

 

 

Most valuable player

 

Aux États-Unis, le prix de MVP est en rédéfinition permanente, constamment débattu. Certains sont en faveur de la méthode “best player on the best team”, d’autres mettent en avant les joueurs qui ont eu le plus à faire, parfois pas aidés par des coéquipiers plutôt moyens. Selon ce second camp, c’est le joueur qui a le plus changé le destin de sa franchise qui devrait l’emporter.

 

Un argument compréhensible mais pas forcément transposable au football, où un seul joueur ne peut pas autant influer sur le sort de son équipe. C’est logique: le basket se dispute à cinq contre cinq, le football à onze contre onze. Si on imagine bien que Lionel Messi pourrait transformer n’importe quelle équipe, combien sont-ils à pouvoir en dire de même ?

 

 

 

 

Rassembler tous les votants autour de la même vision est impossible. C’est bien là la particularité de cette récompense, qu’on ne peut résumer au prix de “meilleur joueur du championnat”. Traduit, “Most Valuable Player” signifie d’ailleurs “joueur le plus précieux”. Alors, qui a été le joueur le plus précieux pour son équipe en Ligue 1 cette saison?

 

Dimitri Payet a été le noyau créatif de l’OM, Marco Verratti le baromètre du PSG et Javier Pastore son vrai meneur de jeu. À l’OL, les noms étaient évidents. Lyon, comme Liverpool la saison passée, est porté par un duo d’attaque dans une forme exceptionnelle. À eux deux, Nabil Fékir et Alexandre Lacazette comptent trente-huit buts et quatorze passes décisives en Ligue 1 cette saison. Reste à départager ces cinq hommes-là.

 

 

 

 

 

Most improved player

 

Peut-être la récompense NBA la plus américaine. Tandis que les autres ont plus ou moins leurs équivalents en Europe, celle-ci est unique. Elle consacre le joueur qui a le plus travaillé, celui qui a fait le plus grand saut de qualité, celui qui, littéralement, a le plus “progressé”.

 

En général, les plus grandes évolutions se font au début d'une carrière. En NBA, néanmoins, ce prix est parfois attribué à des joueurs dans la force de l’âge. En 2008, il a été remis à Hedo Turkoglu. Le Turc avait alors vingt-huit ans et disputait sa huitième saison dans la ligue majeure de basket-ball américaine. Cette année, le favori est Jimmy Butler, qui fêtera ses vingt-six ans en septembre.

 

Parce que les joueurs de football commencent généralement plus tôt leur carrière professionnelle, ils ont tendance à atteindre leur apogée plus tôt. Le développement des joueurs NBA est plus tardif. Pourtant, cette saison, des hommes déjà bien adultes ont surpris: Claudio Beauvue à Guingamp par exemple (quatorze buts, trois passes décisives), ou Max-Alain Gradel à Saint-Étienne (douze buts, deux passes décisives).

 

Trois autres plus jeunes ont répondu aux attentes placées en eux: Jordan Ayew s'est éveillé à Lorient (onze buts, six passes décisives), Diego Rolan à Bordeaux (onze buts et une offrande) ainsi que Yannick Carrasco sur le Rocher. Le Belge est l'homme fort de Monaco cette saison, après un exercice 2013/2014 compliqué, durant lequel il avait progressivement rejoint le banc alors que James Rodriguez prenait le pouvoir. Ses cinq buts et huit passes décisives ont propulsé les Munegus sur le podium après un début de championnat au ralenti. 

 

 

 

 

 

Joueur défensif de l’année

 

Dans le basket, il n’y a pas de séparation aussi nette entre attaquants et défenseurs. Certains attaquent mieux qu’ils ne défendent et inversement, mais tous participent plus ou moins aux deux phases de jeu. C’est moins vrai dans le football, où les entraîneurs donnent parfois des consignes terriblement restrictives. On se souvient de Florent Malouda, expliquant l’interdiction de se porter vers l’avant qu’il avait reçue de Raymond Domenech.

 

Sur le rectangle vert, certains peuvent se permettre de défendre un peu moins parce que d’autres le font à leur place. Ces sacrifiés ne montent pas sur le podium de Ballon d’Or, ne sont pas élus meilleur joueur de l’année. Même dans les onze de prestige, on les oublie au milieu pour mieux aligner trois ou quatre garçons au profil offensif, comme si on jouait à Pro Evolution Soccer dans les années 2000, quand Cristiano Ronaldo devenait le meilleur latéral droit du monde (alors que dans la réalité, il n’a jamais défendu).

 

 

 

 

Ces garants de l’équilibre méritent bien une récompense faite pour eux et juste pour eux. Entre Jérémy Toulalan, meilleur joueur défensif d’une équipe brillante défensivement, Loïc Perrin (bis), Jordan Amavi, collectionneur d’interceptions (1er en Ligue 1) et de tacles (4e), l’immortel Vitorino Hilton et le soldat Marquinhos, la Ligue 1 et sa passion de “l’équipe bien en place” est parfaite pour ce prix.

 

 

 

 

 

Rookie de l’année

 

Voilà un prix qui a demandé une certaine adaptation. En NBA, il récompense les joueurs dont c’est la première saison dans la ligue, quel que soit leur âge. Mais appliqué au football, il fait moins sens. En 2012-2013, Zlatan Ibrahimovic, débarqué en Ligue 1, l’aurait remporté. Le Suédois n’avait pourtant ni la tête ni le CV d’un rookie.

 

On a donc dû transformer cette récompense, en la limitant aux joueurs dont c’est la première saison dans une division d’élite. C’est à peu près sa signification outre-Atlantique, pour des joueurs qui viennent soit d’université, soit de l’étranger et découvrent le meilleur championnat du monde.

 

Cinq noms se sont dégagés. La plupart sont jeunes, mais un fait exception: Walid Mesloub, bientôt trente ans. N’Golo Kanté (4,9 tacles / match, meilleure marque d’Europe) dispute sa première saison en Ligue 1 mais il a “déjà” vingt-quatre ans. Adrien Thomasson et Bernardo Silva avaient passé moins de quatre-vingt-dix minutes sur un terrain de première division avant cette saison (on triche un tout petit peu). Quant à Rony Lopes, malheureusement victime de blessures, il a montré de belles choses pour ses débuts chez les professionnels.

 

 

 

 

 

Sixième homme de l’année

 

Pourquoi n’y a-t-on jamais pensé avant? Peut-être parce que les remplaçants ne sont pas aussi importants au football qu’au basket, règles obligent. Au basket, on rentre, on ressort, on rentre à nouveau, c’est assez pornographique. Le sixième homme de l’année est celui qui s’y prend le mieux.

 

 

 

 

Dans le football, les plus doués dans ce domaine sont attaquants, forcément. On n’a pas encore vu un défenseur être un game changer régulier en débarquant sur le terrain. Souleymane Camara est lui habitué à ce rôle (un but et deux passes décisives après entrée en jeu depuis le début du championnat). Il a remplacé un partenaire à vingt-six reprises, de loin le record en Ligue 1 cette saison. Il est accompagné par des jeunes: Anthony Martial, Clinton Njie, Thomas Lemar et Michy Batshuayi. À eux quatre, ils sont moins vieux que Pierre Bellemare. Extraordinaire.

 

Souvent entré en fin de match avant de chiper la place de titulaire de Dimitar Berbatov, Martial a servi le jeu de contre de Monaco face à des organismes fatigués. Il a d’ailleurs égalisé contre le PSG et l’ASSE. Njie, jamais au ralenti, a inscrit un but et donné trois passes décisives après être sorti du banc. Lemar, entré en jeu seize fois, a aidé Caen à battre Marseille et Nantes à l’extérieur. Et puis il y a Batshuayi, auteur de six buts (!) après avoir rejoint ses coéquipiers en cours de match. L’esprit d’Ole Gunnar Solskjaer était un peu sur la Canebière cette saison.

 

 

 

 

Réactions

  • dugamaniac le 28/04/2015 à 11h49
    (je dis ça mais je relativise la gravité de s'amuser avec ce genre de petite élection, hein)

  • mr.suaudeau le 28/04/2015 à 11h51
    dugamaniac
    aujourd'hui à 11h42

    Yambéré et Touré auraient plutôt concouru pour le Rookie de l'année et j'imagine que Pallois a été envisagé par la rédaction mais qu'il a fallu en retenir 5, faut faire des choix, tout ça, et marquer des buts étant plus difficile qu'en éviter, je comprends la nomination du "meilleur attaquant uruguayen d'Europe". Quant à Khazri, il était déjà à un certain niveau à Bastia et depuis plusieurs saisons pour paraître inéligible au MIP.

    Ah, je vois qu'on est invités à insulter la rédaction en intro de l'article alors je me lance...

    "On n’a pas encore vu un défenseur être un game changer régulier".

    --> y'a vraiment aucune tournure en français pour "game changer"? Allez, un petit effort quoi.

  • Yohan Cowboy le 28/04/2015 à 12h45
    lien a parfaitement résumé la situation pour le cas des Bordelais, la réflexion s'est exactement passée comme ca et maintenant je le soupçonne d'avoir les moyens d'écoute de la CIA.

    Pour répondre à toutes les questions survenues :

    - Oui le vote est anonyme, et oui il est ouvert à tous (et c'est pour ça qu'on va le pondérer, surtout que je crois qu'il est possible de voter plusieurs fois, c'était ça ou l'obligation de se connecter à son compte Google...)
    - Fekir étant nominé pour le MVP, on l'a écarté de la course au MIP (mais au départ je l'avais mis dans cette catégorie, mais ca aurait pu donner le même cas bizarre que pour la Premier League : Hazard élu meilleur joueur mais seulement 2ème meilleur espoir...)
    - On a étudié la possibilité de l'élection d'un coach, Jardim, Gourvennec, Fournier étaient trois noms sur lesquels on était assez unanimes, mais pour les autres (Galtier, Bielsa, Blanc, Sagnol, Courbis...) ça dépend beaucoup de l'issue de la saison, bien plus que pour les joueurs en tout cas. Les prix NBA étant remis à l'issue de la saison régulière, on était bloqué à ce niveau-là.
    - le fameux système de pondération : on s'est mal expliqué et je reformulerai la phrase dans l'article : à l'issue du vote des lecteurs (qui comme je l'ai expliqué, peut être un peu biaisé par un vote multiple, c'est pour ça qu'on gommera un peu les proportions du résultat du vote des lecteurs), on attribuera de 5 à 1 point aux joueurs en fonction de leur classement. Puis on sera 5 pour le vote de la "rédaction", qui attribuera au final de 5 à 1 point. On ajoutera les deux, et en cas d'égalité celui qui aura récolté le plus de votes du public sera devant.

  • Beubeu le 28/04/2015 à 15h31
    J'ai voté mais sans grande objectivité car il y a plusieurs joueurs que je n'ai jamais vu joués, que je ne connais que de réputation... Du coup j'ai plus voté pour ceux que je connaissais.
    Mais sinon c'est sympa comme concept. Bien sûr c'est impossible de faire l'unanimité dans les 5 noms retenus pour chaque catégorie, mais bon il faut bien faire un choix.
    Par contre j'aurais plutôt mis Pastore en MIP qu'en MVP, vue sa saison dernière... Et Fékir en meilleur espoir mais j'ai bien compris que Rookie et Espoir n'était pas tout à fait la même chose (vu que Fékir a déjà joué en L1 l'an dernier...).

  • fabraf le 28/04/2015 à 15h40
    C'est pas très grave hein, mais pourquoi cette soudaine envie de décerner des trophées individuels ? Après avoir essayé de relancer le Bdef, voilà les prix NBA.


    Ce n'est pas très important évidemment mais bon... Quitte à vouloir donner des prix, pourquoi ne pas en inventer des collectifs (le plus beau tifo, le plus beau match, etc), plus proches, selon moi, de l'ADN de ce site ?

  • José-Mickaël le 28/04/2015 à 16h01
    En NFL il y a un trophée que je trouve intéressant, c'est le retour de l'année ("comeback player of the year"). Il récompense un joueur qui est revenu sur le devant de la scène après un début de déclin ou après des blessures. Je regrette souvent que d'excellents joueurs déclinent peu à peu (Gourcuff, Hoarau...), du coup j'aime bien quand la routourne s'inverse (j'me comprends). Je ne propose pas de noms faute de n'avoir pas suivi en détail la saison, je vous laisse les imaginer...

  • Yohan Cowboy le 28/04/2015 à 16h40
    fabraf
    aujourd'hui à 15h40
    ----

    On l'a bien précisé en fin d'intro, on est conscient des limites des trophées individuels. On a juste voulu s'amuser à imaginer ce que la transposition des prix NBA pourrait donner.

    Les prix collectifs auront toute leur place dans les Spirales (oui, elles vont renaître, on y croit !)

  • fabraf le 28/04/2015 à 16h51
    Yohan Cowboy
    aujourd'hui à 16h40

    Une version mobile, le retour des Spirales... You make my day !

    Je ne nie pas l'intérêt de l'exercice, pour avoir moi-même voté. Mais je ne serais pas contre à un retour général (pas qu'ici donc) à l'esprit collectif du foot, à une pause dans la course à l'individualisation de ce sport (surtout qu'à partir de fin septembre, on aura droit à qui c'est le plus fort Messi ou Cristano Ronaldo ?).

    Cette saison de L1 est l'une des plus belles, des plus passionnantes depuis longtemps (2004 ?), en termes de jeu et de suspense grâce à Lyon, Marseille, Guingamp, Paris... J'aimerais bien qu'on le souligne et qu'on arrive à le mettre en valeur d'une façon ou d'une autre.

  • dugamaniac le 28/04/2015 à 16h54
    Pour pas faire que râler, j'ai voté. Mais que pour les 2 premières catégories, les autres j'en étais bien incapable, j'avais même pas remarqué que les 5 defensifs (?!) proposés avaient été particulièrement remarquables cette saison.

    Argumentation implacable de lien sur le cas de mes bordelais, je m'incline.


  • Radek Bejbl le 28/04/2015 à 17h58
    Je suis d'accord fabraf mais, d'un autre côté, on parle beaucoup de jeu sur le site. Encore aujourd'hui, il y a 5000 signes sur la Ligue 1 dans les cartons et aucun commentaire (et une fréquentation qui baisse sur ce format). Le retour des lecteurs n'est pas le seul indicateur et il y aura toujours de l'analyse en ces pages quoiqu'il arrive, mais l'intérêt relatif donne envie de faire autre chose. D'où de la déconne avec GOT et un petit plaisir avec une élection destinée aussi à mettre en valeur des joueurs méconnus, après une grosse fournée de matchbox notamment.

    Personnellement je préfère écrire sur le Rayo mais on ne peut pas faire que ça et je ne crois pas que les gens le veulent non plus. Selon où on va, on lira que les cahiers sont devenus trop tactiques, que la partie déconne n'est pas drôle, que nos marottes se font vieilles, qu'on fait des articles faciles ou trop intellos... Moi je crois que, en l'état des contributions (appréciables à chaque fois mais moins nombreuses qu'il y a quelques années), le résultat est équilibré et plutôt agréable à lire.

La revue des Cahiers du football