15 raisons de préférer le rugby au foot
C'est le moment où jamais de retourner son maillot. Extrait du #23 des Cahiers du football (avril 2006).
le 7 Sept 2007
• « I will survive » est bien plus drôle chanté avec l’accent de Bernard Laporte qu’avec celui d’Aimé Jacquet.
• Les joueurs ne se cachent pas pour prendre de la créatine.
• Lyon est un club insignifiant.
• Les Italiens sont bons perdants et les Allemands ne gagnent jamais à la fin.
• On peut se retrouver au milieu des supporters adverses avant pendant et après le match, et boire un coup quand même.
• Ils restent solides sur les fondamentaux : fourchette dans les yeux pendant le match, coup de fourchette solide après le match.
• Parce que jamais les singeries de buteur n’égaleront les frissons d’un haka néo-zélandais.
• Il donne l’occasion d’entendre au moins une fois par an le plus bel hymne national au monde: Flowers of scotland.
• Le président de la Ligue professionnelle est une légende du jeu et pas un avocat énarque et moustachu.
• Le trophée national est un bouclier, pas un ridicule boulon post-moderne.
• L’extrême droite ne vient pas draguer les moins de dix-huit ans dans les tribunes.
• Rives est plus crédible en casque d’or que Rothen.
• Gilles Verdez n’écrit pas dans le Midi Olympique.
• Contrairement à Roland, Roger Couderc a pris sa retraite à temps.
• On peut enfoncer les doigts dans les yeux de ses adversaires en toute impunité.
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