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L1 :: la Gazette :: J18

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 16 Dec 2008

 

classement_0809_18.jpg


Les résultats de la journée

Toulouse-Saint-Étienne : 3-1
Valenciennes-Monaco : 3-1
Nancy-Grenoble : 2-0
Sochaux-Caen : 2-2
Rennes-Nantes : 0-0
Lyon-Marseille : 0-0
Nice-Lille : 0-1
Auxerre-Paris SG : 1-2
Le Havre-Lorient : 1-3
Le Mans-Bordeaux : 1-3



Les gestes de la semaine

La France a peur. La France connaît la panique depuis que samedi soir, on lui a appris cette horreur: un fantasme est mort. Assassiné. Etranglé. Ou étouffé, on ne sait pas encore. La France a peur parce qu’une bande d'anonymes de notre pauvre Ligue 1 a asséné un nombre considérable de buts superbes, pas ailleurs qu'en pleine lucarne. Focalisée sur les extraits de Juve-Milan ou Barça-Real, la France a été prise par surprise par Sanchez, Belmadi, Machado, Chalmé ou Didot, tandis que Diarra ou Pino ajoutaient à la menace, en faisant frémir des stades entiers à grands coups de reprises de volée. La France a peur, parce qu’après tout ce qu’on a déversé sur le dos de son football, elle ne comprend pas.



La bannette

La soirée mousse
Pablo Correa (L'Equipe) : "Avant le match, ça bouillonnait et j'aime bien quand ça bouillonne dans le vestiaire".

L’homme qui gravissait une colline mais descendait une montagne
Claude Puel (L’Equipe) : "Tout dépend de ce que vous appelez un sommet".

L’attaque des clones
Pablo Correa (lfp.fr) : "Mais nous n'avons pas joué contre le vrai GF 38 ce soir, c'est certain".

Le président qui cherche le numéro de SOS Psychiatrie
Jean-Pierre Louvel (L'Equipe) : "On a tous les symptômes d'une équipe malade […] On va mettre quelqu'un de frais mentalement pour prendre l'équipe première".

L'entraîneur qui lit L'Équipe à bout de bras
Paul Le Guen (lfp.fr) : "Nous sommes capables de lire et d'écouter ce qui se dit sur notre équipe avec un vrai recul."

Le fist footing
Francis Gillot (lfp.fr) : "Il faudrait que les joueurs se fassent un peu plus violence dès l'entame du match".

L’entraîneur qui pense déjà au match vautour
Frédéric Antonetti (L’Equipe) : "On n’a pas su 'charogner'"

Le Jean-Claude Fernandus
Jean Fernandez (lfp.fr) : "Nous avons eu des occasions mais nous n'avons pas su les concrétiser".

L'équipe qui n'a pas fait le voyage pour rien
Jean Fernandez (lfp.fr) : "Nous avons quand même joué".

L'appel téléphoné en mode silencieux
Laurent Blanc (lfp.fr) : "Si on peut éviter d'être décrochés, ce sera une bonne chose".

Le Blanc, les brutes et les innocents
Laurent Blanc (lfp.fr) : "C'est pour ça que j'ai dit aux joueurs de faire mal à l'adversaire".

La discordance des temps
Mehmed Bazdarevic (lfp.fr) : "Maintenant, nous savions que le championnat serait difficile".

Le superstitieux
Damien Perquis (L'Equipe) : "On a treize points, c'est super grave".

Le John Ford focus
Eric Gerets (football.fr) : "Si on croit que j'étais venu pour envoyer la cavalerie, on se trompe".


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"Ah, c'est donc ça, le bas du classement? Vous me tenez bien, hein!"


Les tops

Le top problèmes conjugaux
1. Ricardo (lfp.fr) : "On a duré douze minutes!".
2. Guy Lacombe (L'Equipe) : "On s'essouffle un petit peu".
3. Pablo Correa (L'Equipe) : "Ça fait longtemps qu'on est ensemble et, parfois, ce n'est même plus la peine de parler, il suffit de voir les visages".


Le Top "Ligue 1 à temps partiel"
1. Ricardo (lfp.fr) : "On a duré douze minutes!".
2. Francis Gillot (lfp.fr) : "On n'a joué que vingt minutes en deuxième mi-temps".
3. Franck Dumas (L'Equipe) : "A 2-0, à un quart d'heure de la fin, le match doit être fini".
4. Franck Dumas (lfp.fr) : "Il ne restait qu'un quart d'heure à défendre, ce n'était pas la fin du monde".


Le Top "Ligue 1 Pinder"
1. Karim Benzema (L'Equipe) : "Les autres équipes sont à l'affût, c'est bien, ça va faire du spectacle pour les gens".
2. Claude Puel (L'Equipe) : "Pourtant, avant la mi-temps, Benzema a fait quelques numéros de soliste, Ederson aussi".
3. Elie Baup (L'Equipe) : "Par rapport au mercato, j'ai déjà dit que je ne voulais pas empiler des joueurs".
4. Jean-Marc Nobilo (L'Equipe) : "Il ne faut pas jeter les joueurs aux lions".


Le Top "A la queue leu leu"
1. Florent Balmont (L'Equipe) : "On a l'équipe pour accrocher quelque chose".
2. Rio Mavuba (L'Equipe) : "Soit on revenait, soit on laissait filer le wagon".
3. David Hellebuyck (L'Equipe) : "On a laissé passer le train".


Le Top "Auto-moto"
1. Antoine Kombouaré (lfp.fr) : "Quand on voit les deux (premiers) buts, enfin c'est la roue qui tourne".
2. Michael Gravgaard (L'Equipe) : "On va essayer de terminer pied au  plancher face à Sochaux avant de partir en vacances".
3. Gennaro Bracigliano (L'Equipe) : "L'entraîneur a parlé de nouveau démarrage dans sa causerie".



La semaine de plomb

Llacer retraité, Fiorèse bringuebalé du Qatar à Troyes en passant par Amiens, Pedretti dégagé des obligations du très haut niveau, Mendy balancé par Ceara. Et Moussilou. Le Ballon de Plomb n'a pas toujours une bonne influence sur la carrière de ses fidèles. Comment s'est passé la première semaine des plombés de l'année?

Frédéric Piquionne : non retenu dans le groupe (retour de blessure), il a sûrement fêté son titre avec Nelson Mandela.
Ronald Zubar : héroïque face à Benzema, après avoir dégoûté Torres, Bamogo puis Aguëro. C'est l'alchimiste de l'année.
Gaël Givet : miraculeusement apparu sur le banc des remplaçants, il cumule deux raisons de donner des résultats dans une recherche Google Actualités.
Kader Keita : a pris très à cœur son nouveau rôle de testeur pour le banc hi-tech de Gerland. Il aurait profité de la mi-temps d'OL-OM pour demander à Zubar s'il utilise Wordpress ou Dotclear pour son blog.
Michael Gravgaard : non retenu dans le groupe par Elie Baup. La charnière Pierre-Poulard a tenu en respect Pagis et Briand pendant quatre-vingt dix minutes.
Douglao : s'est effacé au point de ne plus apparaître sur les annonces du groupe nantais.
Stéphane Dalmat : dépassé pendant plus d'une heure, il est remplacé par un gamin qui plante un doublé cinq minutes après son entrée en jeu.
Moumouni Dagano : 0-0 avec Al Khor, Quatrième match consécutif sans but, n'améliore donc pas son total de 3 buts sur les 13 derniers matches.
Jerko Leko : deux cartons jaunes aux 85e et 86e minutes. On n'a pas vu plus régulier dans la performance depuis Giovane Elber.



La minute pathologique de Jean-Michel Larqué


"Moi, j’ai vu une finale de Gambardella contre Toulouse, il y a quatre ou cinq ans, et bien aujourd’hui, c’est le même [Ben Arfa]. Pour moi, ce n’est pas un bon footballeur, ce n’est même pas un bon footballeur en devenir. Il a trop de manques. Il n’a aucune intelligence de jeu : quand il faut donner le ballon, il ne le donne pas, quand il ne faut pas le donner, il le donne. Il appréhende les évènements à l’envers, avant le match." (RMC)



La minute du petit rapporteur de Jacques Attali

"J'ai toujours dit qu'il y avait deux métiers inutilement et excessivement payés : trader en bourse et footballeur. à partir du moment où les traders reçoivent un coup sur la tête, car on dit que leur métier n'est pas toujours aussi utile que ça, je ne mettrais pas d'obstacle à ce que les footballeurs gagnent moins d'argent."
(myfreesport.fr)



La stat futile

Si l'on établit le classement sur les 4 dernières journées du championnat, Lorient termine premier et Lyon se retrouve 18e. Tous ses poursuivants ont grignoté une part de leur retard. Paris a rattrapé 7 points, Bordeaux 6, Marseille et Rennes 4. Du coup, les écarts, particulièrement visibles sur le classement en relief, fondent.

La densité d'équipes en tête du classement s'approche désormais plus de Singapour que de l'Islande: 8 équipes en 6 points. Il y avait 7 points d'écart entre Lyon leader et Marseille, dauphin, après 14 journées ! C'est tout simplement la première fois depuis la dernière guerre mondiale qu'à une journée de la mi-saison, le 8e peut rattraper le leader en deux matches. Si les rencontres de la 19e journée se goupillent harmonieusement, on pourrait même avoir 7 équipes en 3 points à la trêve. Le record actuel est de 5 équipes en 3 points pour le classement d'automne (victoire ramenée à 3 points), phénomène observé en 1951, 1964, et 2002.

La semaine prochaine, nous oublierons cette stat futile parce que Lyon aura repris six points d'avance.

> Cadenassé par Poteau rentrant, le site des stats inédites et décalées sur la Ligue 1



Les Girondins marinent

Avec 32 points au compteur, il suffira d’un nul au stade Louis II en clôture de la dernière journée des matches aller pour permettre aux Girondins de finir l’année au moins aussi bien qu'ils avaient conclu la précédente. Une régularité appréciable quand on sait que l’OM, Rennes ou le LOSC avaient dû cravacher, la saison passée, pour rattraper une première séquence aller quelque peu ratée (entre 24 et 25 points chacun).

Pour autant, ce parcours reste marqué du sceau d’une certaine déception : l’arrivée à l’intersaison de Gourcuff, Gouffran et Placente avait laissé pressentir une montée en puissance d’une autre ampleur. Si le Breton a confirmé son talent au-delà des espérances bordelaises, les deux autres recrues sont loin d’avoir apporté tout ce que le staff local attendait d’eux.
Le cas de l’ex-Caennais interpelle : efficace en Normandie, où il avait été l’auteur de 25 buts en deux saisons, il n’a pas encore trouvé le chemin des filets dans le club aquitain. Quant à l’Argentin, ses – rares – prestations sous le maillot marine n’ont eu pour intérêt que de faire rire (jaune) le pourtant très sérieux public de Lescure. À leurs côtés, Wendel peine à confirmer sa réussite passée : les performances du Brésilien laissent planer le doute sur son réel niveau, et pourraient accréditer la thèse d’un surrégime passager lors de la saison dernière, alors que sa première année bordelaise avait été souvent honnête, mais jamais brillante.

Candidats au titre au mois d’août, les Girondins seraient probablement revenus à de plus modestes ambitions sans une double baisse de régime notable du septuple champion de France, aux mois d’octobre et de décembre. Avec seulement trois points de retard sur l’équipe lyonnaise, contre huit l’an passé à la même époque, tous les espoirs sont encore possibles pour Laurent Blanc et ses hommes.



La preuve que tout n'est pas perdu pour l'humour lyonnais

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La preuve que ça va quand même être compliqué

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[détail du formulaire d'inscription au forum du site officiel de l'OL]



Les Verts c'est du courant

Certes, pointer deux crans au-dessus du premier relégable et présenter un record (partagé avec le HAC) de douze défaites constitue une situation alarmante. Un examen plus attentif du parcours de l'AS Saint-Étienne indique pourtant que le "spectre de la relégation" ne menace peut-être pas si sérieusement sa saison.
D'abord parce que le cocktail absences (celles de trois joueurs aussi importants que Landrin, Dabo et Sall), scoumoune et bourdes individuelles a fait très mal dans la colonne débit. Ensuite parce que l'effectif présente des ressources dont ses concurrents pour le maintien ne bénéficient probablement pas. Alain Perrin ne s'est lui-même pas jeté dans l'aventure sans la conviction que ce groupe avait les armes pour faire bien mieux.

Gomis, première recrue du mercato
Le technicien a ainsi eu la tâche relativement aisée, s'agissant de "relancer" des joueurs comme Matsui, Hautcœur, Ilan ou Mirallas, en attendant les retours de blessure et de suspension. Ou les retours en forme. On parierait qu'après d'être dépêtré de ses lendemains d'Euro difficiles, Bafetibi Gomis va retrouver ses qualités aux côtés d'un Ilan revanchard ou d'un Matsui qui fera un bon successeur à Feindouno.
Il faudra bien marquer pour contrebalancer une faiblesse défensive chronique à laquelle le retour de Bayall (ex-Sall, après une longue suspension pour avoir signé deux contrats en 2006) pourrait toutefois remédier. Mais les solutions sont peu nombreuses, obligeant par exemple à contrarier l'excellente saison de Matuidi en le replaçant arrière gauche.

La défaite à Toulouse rappelle le fond du problème: un mental collectif qui défaille plus souvent qu'à son tour. Avec deux défaites de rang, le choc psychologique n'avait pas eu lieu à l'arrivée d'Alain Perrin, qui se chargeait lui-même de battre le record local de défaites consécutives (7). Il ne s'agirait pas que l'ASSE renoue avec un travers dans lequel elle a souvent versé: la décomposition de deuxième partie de saison.



gaz16_dictionnaireOL.jpgL’OL de A à Z

Partageons la passion du septuple champion de France des jeunes enfants fans de l’OL, en parcourant une définition extraite de son dictionnaire officiel (1). Cette semaine, la lettre B, comme Bourse.

"Janvier 2006, Jean-François Lamour, alors Ministre des Sports, annonce la levée officielle de l’interdiction d’entrée en bourse pour les clubs sportifs, qui justifient être propriétaires de leurs infrastructures. Bruxelles est à l’origine de cette décision contraignant l’autorité gouvernementale à laisser ses clubs s’introduire en Bourse.
En septembre 2006 le projet de loi sur l’entrée en bourse des clubs français est adopté. Le 26 janvier 2007 le prix de l’action est fixé à 24 euros.
Cette entrée permet au groupe de poursuivre son développement et de financer son projet «OL Land».
L’OL est ainsi le premier club de football français, à faire appel aux marchés financiers."

La semaine prochaine: C comme Club des Cents.

(1) Encore plus de ponctuation aléatoire et de "B" de bourse en capitale dans le dictionnaire officiel de l’Olympique lyonnais, éditions Hugo&Cie.


Les observations en vrac

• Depuis le début de la saison, Helstad a marqué 5 buts en 6 tirs. Djibril, viens v… Djibril? Djibril?
• La minute qu'on peut vraiment qualifier de tournant de la saison: la 76e minute de Marseille-Lorient. Avant, les Merlus vivaient une quatrième défaite en six matches, pour un nul et une victoire. Après, Lorient vivra une quatrième victoire pour un nul.
• 78. C’est le nombre d’auto-strangulations que s’est administré le téléspectateur de Canal, une pour chaque "Olympico“ que lui a infligé Grégoire Margotton manifestement très satisfait de sa trouvaille insupportable du jour. Avec le consentement de Benzebut?
Govou arrêté avec 2,6 grammes d'alcool dans le sang: il va enfin être transféré. À Fresnes.



gaz18_santos.jpg
"Oui c'est vrai... J'avoue madame la présidente. On a pris deux buts de Dagano et le Tallec en finale de Coupe de France."

> Les lucarnes se font pomper dans le Diapo des lecteurs.

Réactions

  • Papin Jour Pape toujours le 17/12/2008 à 09h51
    Arrêtons de biertryser. Maurice en fait des caisses parce que

    1* Il sera jamais prix Nobel
    2* Il est payé pour donner des commentaires partisans.

  • La parole à la défense le 17/12/2008 à 14h32
    Ca y est je viens de voir les 2 tacles de Ronald Mac Zubar. Comme tout le monde je donne mon avis.
    Selon moi les 2 valent carton jaune, ce qui aurait donc dû conduire à son expulsion. Après, je trouve le 2nd plus dangereux que le 1er car effectivement il y a un risque que la cheville d'Ederson se trouve bloquée sous le bassin de Zubar. Alors que pour le 1er, il me semble que c'est "seulement" un fauchage.
    Et dans les 2 cas, ça me semble plus être des tacles légèrement en retard plus qu'assassins et donc des actes non délibérés (oui, au foot on peut faire mal sans faire exprès) plutôt qu'un attentat honteux visant à détruire le joueur. Et je ne vois pas de tacles les 2 pieds en l'air ou ce genre de choses. Il s'agit de tacles glissés normaux, les pieds étant maintenus au sol.

    Pour préciser mon angle de pensée, je suis supporter de l'OM et ai joué défenseur pendant une bonne vingtaine d'années.

  • Marko Tsubasa le 17/12/2008 à 19h16
    Oh mon dieu OL TV ! Oh mon dieu ! Mais à côté OM TV c'est une télé modérée et intelligente. Haha ! J'espère qu'ils rediffusent le match demain, j'ai envie de voir la prestation intégrale ...

  • losc in translation le 18/12/2008 à 09h31
    La parole à la défense
    mercredi 17 décembre 2008 - 14h32
    -----------------------------------
    Autant je suis d'accord avec l'interprétation des gestes, qui démontrent juste le niveau assez médiocre d'un défenseur incapable de maitriser ses gestes, autant ce n'est pas pour moi le plus grave.
    Le plus gênant, à mon sens, est l'attitude de Zubar après chaque tacle : il quitte la zone sans s'excuser, sans prendre en compte l'appel de l'arbitre (première faute)... Je trouve cette attitude déplacée, même dans un match-au-sommet-où-il-ne-faut-rien-lâcher.

  • Qui me crame ce troll? le 18/12/2008 à 09h42
    Mais ce n'est pas spécifique à Zubar malheureusement.

  • arnaldo01 le 18/12/2008 à 10h39
    losc in translation
    jeudi 18 décembre 2008 - 09h31
    La parole à la défense
    mercredi 17 décembre 2008 - 14h32
    -----------------------------------
    Autant je suis d'accord avec l'interprétation des gestes, qui démontrent juste le niveau assez médiocre d'un défenseur incapable de maitriser ses gestes, autant ce n'est pas pour moi le plus grave.
    Le plus gênant, à mon sens, est l'attitude de Zubar après chaque tacle : il quitte la zone sans s'excuser, sans prendre en compte l'appel de l'arbitre (première faute)... Je trouve cette attitude déplacée, même dans un match-au-sommet-où-il-ne-faut-rien-lâcher.
    ------

    Si le coup franc est rapidement joué, Hilton se retrouve en 1 contre 1 avec BenZ donc je comprends qu'il aille vite se replacer. C'est vrai que c'ets dommage mais vu que les différences se font sur des détails, ca peut en faire partie.

  • La parole à la défense le 18/12/2008 à 10h52
    losc in translation
    jeudi 18 décembre 2008 - 09h31

    On est d'accord, moi aussi je préférerais que les joueurs présentent leurs excuses chaque fois qu'ils font une faute. C'est ce que j'essayais de faire à mon niveau mais bon, effectivement, en pro où tout va très vite et où le vice permet souvent de faire la différence, je conçois que les excuses soient plus rares, surtout au milieu du match (rien n'empêche de le faire après). D'ailleurs, déjà à mon niveau, mon entraîneur me répétait "Ma qué tou es trop gentil !" (oui, il était d'origine argentine et avait un accent assez important)
    Quant à qualifier le joueur de médiocre, mouais... Que celui qui n'a jamais mis un tacle un poil de seconde après que l'attaquant ait touché-poussé la balle me jette le premier crampon !

  • Le_footix le 18/12/2008 à 11h11
    Et là, on se souvient des derniers jours d'Emon, où Toulouse marque alors que Cheyrou aide Battles à se relever...

La revue des Cahiers du football